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k SchIii, «n iMirntii '4«■dê>Ville I — A fei*!».

Jmn>l*p<|He« RnMMCke. JT, i.ArMTB>BULMRRe| Gôw|>.. Bt ^ el Vlirs Im l . ib n iim an

A O T O T O E S I ü D f C I A I R Ë S .

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r m m n i » i i v s R i i v i t t ï f s t *ANNONCI» JUDICiViftt», M rml* UANNOI<«:n niVKBSrJls » id.

7- Pdf un d t^ m l im périal eii dn le d n $8 nnâl i 8 6 l . rcu* ■dMAHrid pruposiiion.aii' in iiiisir» des nflUireA ^Iraiigères.

H> le mn>9 iiU idp.L'evaielle. st^iiaïeur, apnbiiM^dciiir près S. ) l / i . lè 'Sullan.^a ^ lé nu m m éen la fnèoie.quaUlé près' le Sainl*Stè||eI'CU'férapiaèeiiieiil de M .-le,due d e Ç ram ohi.. I f . lp.m ait|)ii4'dèM nui(li«r, am baM adênr p rès S . M. l'em*

neièùr Ü Ailfridie» ti é té nuniruè ou la m êm e qualité nrê^ 8. Ü- !• leJSullau. • -

Xv^fdM c.de-G ninieiil, am bassadeur près le Saiiil*8iëge, aê tê nentniê éa da m êm e q iia lllé près S . M. l'em pereur d'AbIrioliè. pu rem placem ent d e N. le m arqu is de Moustier.

U* lA -M éniffur a publié un d* cre t pn rlaiil q iie les b1é> tcomepls étrangers, sans d istim tiuii d 'espècé ni d 'n rizine pourront ê tre imparités tem pora irem en t, èn rraiieh iw de droils> pnnr la in o u tu re ,jto u s tes condiliuns déterm inées par la Ini du 6 jiiilie l lA w .

Jje luèiné déc ret déterm ine les conditions do rendem ent delà m oulure et celles d e la réexporta tion .

Mirés s'eMri'onr^Q «fi cassation co n tre l’a r ré t de 19Q |‘«Apllntie*{ qqàBl * la / peuié .'édictée

iy,..il'«nieo(te), le.Jugem ent du tribunal m prem ière Instance.

— Il est i^ rje n s m ent question , nu conseil d 'E ln l, d 'un pmirl de-loi d ’après lequel les passeports seraien t sup.

' primés è l 'in té rie u r d e la F rance..re u re x /ra iV e tre rfa c trâ n ; E. REGNIER.

H O D i a m D Ë PA R T E lE H TiL E S.-«S;imo«ll .dèm iër. S I ao û t, a en lieu ro n v e r ti ir e d c la

section • du c4ie'min de Ht de P aris A Villers-Cotterêts que nous aviiiiis aiinonrée'.

A ueiif heures 80 ininutes dii m atin , un tra in venant de Paris est en tré dans.la g a ré d e Villers-C.ulterêts. oû.il é ta it a tten d irp a r tes àu tu rilés. le clergé, la g a rd é iiaiionale. et une foule. nnmbreiisiM le cu rieux . Aucun des adhiinisirn* leurs de ta eoiiipaguie dit N ord n ’é ta it venu pour celle cé­rémonie: u n êinployé au p èrieu r , M. M athias, avait été cbsiilAde rtna ilgura liou p.iriielJe d e |n noiivelte vole. '

N ;'m ihbè t'diobtèl. 'Cdré-diiyên.'a héni l.*i toeoinoiive et prononcé une atlociilnUreU v e rs :.p û H 'ù ti banquet de 50

jerm tni là fMu «fflêfelie.liC lendéniàin, dim aindie, leA ré}OuissRéees publiques ont^

-canliipié.'nnqr «.^iébrer cul évènenienl-si im portan t pour toiiti'it 1rs liicaiités desservies p a r la nouvelte voie ferrée. I.e; snlr^ niila tiré un feti d ’arti.nce. c l le B.isi|ucl a été illum iné jtâr des feux deiBciigâlc.' On .nrt'itS saura g ^ dé re p ro d u ire la rlialctirouse in s­piration qui a valu d e nom bren x éloges A son au te u r.Au gré do.no4 désirs, te voilA donc Duverle,!.tguu liinl désirée, liie r e itcor dés>-rlr? lAiigleinps lu fus ro b je l de cjvttuurcux débats :Tu lions ri'stCj: ontin pour p rix de nôs com bats.E'i'v.iin. dans un s.)tnt zèic, une vieille voisine, nir-lio déjà iru n p o rt, d 'u n ca n a l, m ain te usine,Vontail nous contester et ta ligne çt nos dro its .Nous enlever la palm e et rh u n n c iir à la foiiA*,Essayaqt contre nous une lu tte iiii^galc.Elle d u t succum bcrM ’urnc lu i fut fulale.Üttsa. fiqble défaitp, elle se consola.Et nous lVt,idanl la m ain , vginqiieurs nous proclam a.Nous devons la-vieloiro A l'E iu d e l.i F ran cè ';P ar lu i surJiQ s eontrées d é j i b r iltv e t s'avaiico Dnc ère.piusitR ureiise, a u ro re dcsln.sitix jo u is .Qui pour pons dtbinrmais se lèvont pour toujours.H onneur qu m agistrat que la c ité révère ,Qui sut si. bien rem plir sa t&che in té la îro !Gloire A la. t'onqiagnic, A ces hom m es d e cm ur.Qui l’ont beaucoup aidé d an s ce rude lab eu r!I>a cité de nos ro is itemblait déshéritée .Sa gloire; hélas! le tem ps l’avait cummo em porlée: n ie reprend enfin son an tiq u e sp lendeur.Sa place cl son hau t ra « ^ q u i DrenI son bonheur. l.’écho do 1.1 forêt, les rivages de l’Aisne, '^ bourgs, les haineatix, tous, ju sq u 'au x bo rds do la Seine

I w snn t ém us, levés pour elte ; airdenls cham pions Qui pour elle en Iniit lieu lu tta ien t com m e des lions.^ ce triom phe, oh ' commc-olle est ju s tem en t ücre ! b’avenir lin sou rit plus p u r e t p lus prospère, nicbesse, aisance, am i, to u ris te , nniatils des bois, o vons vois accourir, vous ra n g er sous scs loi.s,Déjà daits sou .sein coiilc une notiVRlIe vie.Qui.lui rend sa jeunesse et fa it ta ire l'envie.A loi ligne féconde, A loi nous les devons Ces bioiifiiiis du seigneur : A Dieu nous les rendons, bigne b rû lan te h é iss l pu r le s niics rap ides Tu vas uoi)seni})orlAr; qu 'ils le servoiit de guides .Du ciel cfs.anges sa in ts ,.q u 'ils veillent s u r nos p.is.Ecartent tou t péril ol ne perm etten t p.is.Que jap ia is ni w agon, que ni locomotive,!N'iu'late s itr la rou le, ou n’aille à ta dérive.Ah! puisses-tu b ien têl. dans uii sublim e é la n ,Jusqu’A Soissons l’élendi'c , et courir.jtigqu'A bapu! De2IA'|vi«ndk‘e;ton vfd , to u ch er A la fro u iiè re ,.Et verÿer raboiidance en tnitt lieu s iir )a te rre '^ ig n é u r, dans la éboulé, d e ton hunible pasteu r ,Eiatrao-iA p rière : arôm e de son cœ ur.

eansé.ne s ’élève qu'A 3,000 fn Toùl élRit assuriV;^

BEAUVAIS. ->• Dimanche, A dix lieures e t dem ie du so ir. Un com m encem ent d ’iucèndîé a ru lieii dans la fabrique de NM. T ê ta rd , boulevard.8aint-icàn^ 1,'àlerte ayaiil é té su r- w*cbai«p.. donnée d an s to u te .la ville, les pom piers se 'itmit transportés, avec leu rs pom pes, s u r le lien du s iiiis lrr , su i­vis b ientôt de çcux des env iions et d 'u n e foule d 'hoblipnis. I^es A u lo rités civiles et m illln ires, la m .igistrnlure^ là gen­darm erie e t la Iroiipc s’y son t rendues t^ a lrm o n t aussitôt. GrAee.aux prom pU secours porle.s, le. feu a été un p e n d e leaips m aîtrisé, e t .en tièrem ent éte in t A mintiii un q u a r t: H avait p ris daiis des toiles gom m ées et au tre s m archandises <l>ii se trouvaient auprès de la pompe A feu. t e dommage

ü e o lo rc ra n c im .l doniicu t A ccife di.slnbt^ la présence ol les évolutions,Ues enfanlK du I asile. On ne peut se lasser d e voir toutes ■10111.!!,*!-!. * ^ " ' ^ ! ^ ' * ^ ' ; l èlés S'jigiter ut se il!» droite, à gauche, a^ec un ensemble presque mb

lo'd'uu*» «*>vec un nrtifveâu p laisir ces chanian l, avec une anim aliou

^ wm plcls approprié.^ A la circonstance; S rfT«v, **'V* ^ en«l>échur de dire : quelle peine

rebgieiises p o u r parven ir A n i r • P?:*. disait une dam e. en.

faimpï nu w II- r'- 1 de luodesiiH.avcc laijuelte les*'• pré'suntcr, ne les plaignons

pus. ces, ctif.inls du peiiplo font honte aux nôtres. • Ü’élniti reproches qui valent

d 'a n tre c“ fnplln?ei|ls : nous n 'en ferons point

assisté A la di.siribüiion ont pu n ‘'**1'"*'*'“» de Iravaux A l'aiguille.

l>rodençs, des |apis.<crie.s et, aussi d ’au tres « . i? P'".^ praliquo. Quelques personnesOUI iM ^vé q«iR ce.s deriiiers n'ocniipaiuui peu t-ê tre pas f lp n sfl^ p iis iiio n une place assez cftnsldéralde; m ais iiuqs

/tffons rom .in ipv r quu. si dans lu conrani de Paiinée on opprcnd surlo iil au.x enf>ints la cou tu re e l le raccommo* uage. on no peut cependant exiger qn ’cl!e.s exposent, le p m r de la djsJnliiilion, du ces lrav.iiix d 'une iillh lé Inron- ti-.^iiiDlc, mars d une «onvenanée, ou ravoiiera. queliiiicfois équivoque en parellli- circoiusianco. Nous ne leu r ferons unnc pas un reproelie d e ne nous .ivoir pas m ontré ces onjcisj m ais, sachant h- soin nue mel.lenl les religieuses de huiH-Josepii a ensttisuer les choses prailqne.s aux riifaiils floiil rlle.s eritreprenueiil l'éiincalion, nous Jugerons niiu colles qui fonl de si .belles lapis.series savent aussi faire servir leur aignille.A des travaux p ins pra tiques: comme nous avons juge de leu r science dans la gram m aire et la Ç 'ographie. p a r la m anière intelligente dont elles ont récité

'dialogues et pièces de [loésic.

. T . I8ÔI. A.J|rqi.s heures de l'après-m idi. lasocieié d ap icu lture , convffmjée eu assemblée génér.de. s est réunie dans un am]itiii(ié.Alre des Arts cl .Méliei's.sous la présidence de M. le viiaunlcde l.icsville, assesseiir. Dans l î 1*. nons voyons un noiu de iiuire ville.

' j Girault, place de l'Hôlel-de-VilIc, a oblenu une tiiédaille de 5* clits.sfl, pour s j p ra tique iuiclligenle el ses miels

•expo.sé.s.

l.a cham bre de discipline des avoiié.s de l'arroudîsse- su it, p o u r l’année

■jqaicrairo I881-I8G2i l " Frém y. présideiil ; — Godiu. syndic ; — Pelbois. rap-

p n r lc u r ; La.sscrrc, serré la ired ré so rier. '

— I.e dépôt du 5 ' régiment de hussards, dont les esca­drons actifs soni slalioiiiiés A Paris, a reçu l'o rd re de se rendre de Joigny A Seiilis, o ù ll arrivera le 11 septem bre

preiive d ’ûn g ra n d dévoàm enb Oii n 'a eu à déplorer atici .accident,... ..J-B pom pe du rhem in de fe r, rsm diiitc p a r le su rv rillau r Collel. eatarp ivée l'une des prem ières s u r le lieii du siiimlro. .ou elle a re n d u , comme d é cuulum e, les services le.s niüs actifs.- /

CH.INTI.IJ.Y. —. |.e feu a p ris , daü« insoirt^edu 30ài>ûl, dans réc iiried ii sieu r G ouverneur. itnii%pn?nrMir de voitures pubtimies. a con.<iumé iru is cnUverlurrK de cheval, des clfels d 'habiliem «nt, e t-n d o m m a g é le b i is d e h t. Il a suni de .quelques sefiux d 'eau p o u r l'éleliidre. Ce comnieuceuienl d'inceUdie est dû A l'im prudence du g f i r^ n d 'é rn rie qui avait laissé b rû le r un bout d e chaudèlle dans sa lanterne qu’il avait suspendue A un clou flxë A une planche du mini- laiit d u d it. La perte , garan tie p a r l’as.surance. cal de 70 f,-.

■ COMPIÊGNE. — l.a loi Gram mnnI vient de recevoir son application A C om pi^ne .'M . le ju g e d e paix, dans son au ­dience du S 7 .ao ù t, a condam né A iS fi-nncs d 'am ende et. aux dépens, le s ieu r Augusip Evroy. ciillîvnleur A Janx , pour avoir m altfaité ol brulali.sé son .Ane s u r la piude do Fflêlebdo-V ilte. . . . . . , j

CREIL. r r Dn éc rit :• Le À seplem bré, A une heu re de l'aprè-H tuidi, nu jeune

enfant jouait avec des ^llnm etles dans la cour de la femme Munchemn e t auprès d 'u n las de paille.

• Gell® P**!!!® ses ! cmbrii.séc cl a cm nm uniqué le feu à un petit bâtim ent couvert en chaum e qui a él.'? cum plclem enl rm isum é; t.a perte est sans im portance, gr.àce au zèle et à l’activité habituels de nos pom piers cl de 1.1 population ouvrière de no tre ville, tou jours p rê le A se p o rter i» p re ­m ière lA où il y a du d anger; m ais le sin is tre atira il pu p rendre de très-larges proportions, s 'il n 'avail pas été con­centré dans son foyer. A

FONTAINE-LES CDIIPS-NUDS. ~ Les deux troncs de 1 égjise de Fontaine viennent d 'ê tre volé.s en partie : 15 fr. environ en ont été .sniistr.iils. Lé vol a dû ôire commis en plein jq u r , aucune clfraclion n'ayant eu lien. Le voleur, aussi-aiidacieiix q u 'ad ro it, puisque l'église n'c.s| m illctnenl Isolée cl est située daiis la partie du village la plus f r é ­quentée, s'est servi d e glu p o u r e x tra ire , pièce n a r piiîce la ig rn l des troncs.

L 'au teu r est inconnu: seulem enl. ce qui ferai! supposer ne c’est un chevalier d ’iiid iisirie . c’rs l q u 'à UarcsI uii vol :e même n atu re a été com m is le m êm e jo u r nu la veille

dans les mômeK c irceiistauces et avec les mémos moyens.’

LIANCOURT. — l.e m odèle de la slaliio du duc de LarochefBuoautd-Lianconii est d û à M. M aindron,s.i bonne exécution fait honneur à l'école des a r ts el-niéiiers de la Tille d ’A ngers, e t principulem rnl A M. Uiessi-, chef de h fonderie, q u i a d irigé les travaux du moubige .ivec tine grande habileté . L’inaugura tion de ce lle belle et rnloss.ile s tatue, s u r la place publique de laancotjrl-snus Clcrmont au ra lieu prochainem ent, au plus ta rd te dim anche 6 octo­b re 1861. Les Iravaux et les prépara tifs p o u r celle soicnnilc qui doit com bler le» vœux d es hab itan ts de L iancourt. grâce aux autoritihi locales e l A la com m ission nu:nmée à cet clfei, se poursu ivent activem ent.

NANTEü|I.-Lli-IIAl)001JIN. — t.a ligue du rhem in de fer de P aris A Soissons a été onvcrle tu 31 août justiu'A Vil- lérs-'Golterôts, grùr«'A Pactivité que .MR. les Ingénieurs ont déployée su rto u t dén-x le» d e rn ie rs moi».

1-c prem ie r tra in p arti d é Villei-s-CoUvrêts. A G h . 58 ra du m alin , é ta it o rné d e guirlandes de lleu rsc i accuinpiigné de I éxcellenle m usique de ce lle ville ’ ' Il a été Je su jet d ’une com plète ovation el partou t l’em- pre«scm ent.et te contentem ent éiaîent grands.

Ou espère q u 'au p rin tem ps prochain, la ligne sera on - ^ r l e pisqu’A Soissm isoit elle se soqdera A la ligne de Reims; Qimt les travaux doivent ê tre lcrminé.s p o u r celle époque.

PONTPOl.NTi — Dm» la nuit du 27 au 28 aoùl. un vo! de 50 bottes de sainfoin a é té e-ommis dans les'cham ps, su r Iç le rr ilo irè de Maiirii, au préjudice du s ie u r Ilavy (Jean- Chartes). p rop rié ta ire . Dn pense que le voleur s 'cs t servi d 'une voilure p o u r en lever ce fourrage, a ttendu que la

aiècé dé te rre borde la rou le départem entale de Cires-lcs- lello.à Gilocourl, de laquelle elle n 'est .sép.irée qire p a r un fossé. I.a voiture é tan t restée s u r celle rou le, o;i a uppo.-tù

le» boites prè.s du fossé, e t de là on les a jciées dans la voi* tu rc . Il a é té impossible de savoir de qtiel rô lé le volimr s 'est d irigé. La perte est év.alnée A 15 fi'iiu.'s. -> La gen­d arm erie s’est livrée A de» recherches aciivcs d.nis la com ­m une cl le» environs p o u r découvrir l'au teu r ou iesaulciir.s d u vol. c a r ils étaient évidemm ent plusieurs; m ils toute.» les dém arches sont.resiécs Jusqu'A ce jo u r iurruciueuse.s.

Dans la nuit du 27 nu 28 août, un vol de 30 k il. d 'o- gnons, nmi détachés du sol, a été commi.s. dans le» cham ps, au préjudice du s ieu r M ercier (l.éupol<l), iiianoiivner A Mnru, annexe de Fontpoint. I^a pièce de terre qui a été dévasiéo es t située su r le b o rd de la ro u le déparleinenlale de Cire»-les-)lello A G ilocourl.

La gendarm erie sodivre A de» rech erd ics coiilluurlles et actives p o u r découvrir les m alfa iteurs: m.iisJiisqu'A ce jo u r elle n’a encore ..pu recueillir aucun indice certain A leilr su jet.

■ S.\INT*LElî-D'ESSERENT. — Le 3 t aoû t, deux ppliles nllcs, l'iiDe de 9 a iu , l 'a u tre de 1 0 .1 rs nommées Joséphine Juux eê H enriette Q atc liic r. étan t A laver A la riv ière, aper- enrent le s ieu r P ir ra rd (Etienne), c a r r ie r A Boissyv uni se baignait seul. Cet hom m e traversa l'Oise A ta nage; puis quand il voulut re v en ir du cô té où éta ien t ses vélcmenls. les forces lui m anquèrent ut il d isparu t sou» l 'ea u ; repcu- d anl II revint A la surface , m ais p o u r s’enfoncer une se­conde fois. Les deux en fan ts se m iren t à c r ie r au seriu irs; un c a rrie r d e &iint-l>>u, nom m é C antiilôn, aecouru l. I.e» iietilc» m iès lu i m on trèren t l 'endro it on venaQ de se m»yer P ir ra rd ; il y plongea aussitô t, et ne pu t rien trouver. Ou continue les recherches.

SENLIR. — Le 20 dn mois d ern ie r, le» prix oui éié d is­tribué» aux enfant» qu i su ivent l'éeotc com m unale de» niles tenue p a r les rc lk ie u ses de Saiiit-Joseph. Avant mêiue l'heu re fixée, une m ute considérable rem plissait la grande salle que le rollége Saint-Vincent met pour colle circon-

inuiraut pour y len ir garnison.

— H ier vendredi, s u r les onze heures du so ir, un m.'d- htiurpux évèiiemout esl arrivé s u r l'aiHuemiu rou te do Lrepy. près les Iravaux du riieruiu de fer. Un cabrlolel fO nlenaui deux perstmne.-i surlail du Senlis; il faisait nuit som bre: le cheval s'est em porté «I «si hmibé dan» les Ira- 'a u x , RHlraîiiaiil avec lui le cabrlolel el les personnes qui claïont dedans. M. Boisseau, eullivaleiir A Feigneux. a été tué, s u r îrt coup; M. Üauxis, luéJeciu à Belz. a eu deux rô les rciifoucees

,11 a é té constaté que l'on ne pouvait passer piitrc le» !)Ule.iux serv.iiil A b a r re r la rcmle. Ou ne peul im pu te r ce m alheureux accldeiil q u 'à l’im prudence des voyageurs.

— A rnud ieiirc de la juslicc de paix de .samedi d ern ie r, un-garçon ch a rcu tie r de noire ville a été com tam iié A 2 fr. d qrnendo po u r avoir m alira ilé im porc l»ui»se ce lte t«con nVoptcr aux personne» habituées A frapper le» anim aiix, èl leur app ren d re qu 'il existe une loi qu i punit sévèrem ent Wiis qui se renden t coupables de ce lle b ru la lllé incoiicc- vab!c.

— I.a Cour im périale d'Amion», ch.im brc de» appels de milice corrcriionnelle . d an s sou audience du 29 aoh t, a domie ac te A Jean -B ip liste Dugoulet. te rrassier, dem eu­ran t A Seiilis, de son désistem ent de rappel p a r lui in ler- j e lé d 'u u jugem ent dn tribunal eorrecliunnel de Senlis du 21 juillet I8GI, qui l'.i condam né A q u a tre mois de prison, pour rébeHion e t ou trage public A lu pudeur.

VLNEmi.-SAINT-FIÎIMIN. - Ou nous éciil r Monsietir le n irer.ieur du Journal do Senlix.

'C 'rsl sous le charm e du discours prononcé p a r .M. M«u- nier, man-e de notre com m une, que J'.ti r inu ineur d e vons reuiire cotnpie de la dislribiiliiiu soleniiclli* des prix faite dimanche, aux élèves de l'école m itlucllo fondée à Vineuil par .U. et M“ ' RerhI.

Il serait superilu ilc vous répéter ce qui .se dit p a rto u t el loujoiir.» A propti» de sem blables cérémonie».

t^diles, pièce» de circonslauce. d ites el jo u é .s avec in ­telligence p a r nos jeunes élèves, au milieu d 'un conconis aussi nom breux que sym palbique. d.ins une salle loujuurs iro b é lro ile . a rnm géo avec goùi p a r .\|. ei . t j - Théroine, no» iiisliiuleur» depuis laiiiôl vingt uns, directeur» im pro­visé» de nos représenlalion» enfantines.

ü t réunion était présidée par .M. le 'm aire , assisté du cuyô de Saint F irm iii. de M. l'abbé Blet, de Cliaulilly> el de» .m em bres du cous-ùl uiunicip.il, auxqiiels s 'é la il j'oint n o iré rom patrio le M. Augu.sie Polln. fm d .ileu r de livret» de caisse d 'épargnè en f.iveur des eièvc» de no» «cote».

Avant la dislribu lim i dos prix , M. .Meunier; d an s un attgage parfail. a su captiver piMidant une dem i-heure

la l te n lio n d i-so n tm p a lic n l .lud ilo ire ; eouseils aux enfants el aux n arcn is , rbqïe» A .M. le miré, léiiHiignage do salis- raclinii A .M. cl M“* Théroltte, roinereienionis à M. ihilin

faveur de la eoinmittio. to u t cela a « le d it dans nu style parf.d t, avec iiiiu iHinhouiie char- miuile il nnu» sem blait assister A la lecture d 'u n e l'age do .R erquin . ‘ ®. Pbins sou ln itm is que les p.irole« de notre adm iuislraleur

ne soienl oubliées p a r personne; elles eoiitiemieut de» en- couragenii'iils q u e les élève» su rto u t ne saur.ucut Iro p sc ratipcrer.

Nous aurions voulu pouvoir vnu» ad resser cc discours, qui ne |K»urrait que p erd rç ù .im lie .m.ily»r.

M. Potin est.venu eniitiito ra n p c ie r le» m (ilif» « tle b u t de sa création en laveur de» éleve» d ’une érxilu d an s là- quelle »e sont écoulée» se» première» ,années.

Aprè» avoir ju^ôposé. 8011 cnnrouili et de» foiids pbur-la jéorg.inisnlion d 'u n e écote du solrni'i le» ouvriers pouviijnt venir'com plétcr leu r éducation pr^fesslotinclle. M .'Pollu â t rendti com pte do la rêprésentaliuii organisée l’aiinée d e r i 'niorc p a r ses soin» s û r le Ihédire de Seiilis, soii» le 'eat'rû - nage du N.. le Itaroii klounier,-sou» préfet de l’arrondiaRe- meiiL p o u r lii fondaiioii, à Vineuil, d ’un b u reau de Bien­faisance.

« Mai» avaitt de vous poser de» chiffre», perm etles-m oi, a dit. M.. Potin, .de faire acte «le^recinina>».»aocé envers M. le l*réfel, qui n daigné me sou ten ir de sa .puissante du- to rtie , envers M. le Soiis-Pi éfel, dont le concHir» es t tou- jon re assuré lorsqu'M s’agit de venir en aide aux infortunes, e t envet» M. le .Maire, dont le zèle ne s ’est pas. nii in stan t dém enti ; je ne saurai» oublier non p ius lé Journal dn Senlis. qui a voulu g ra tiiilrm en t ouvrir se» colonne» p o u r d b n n ér A la représenta tion la publicité indi»pensal)le.à sou succès.

» Et cil a ltendan l que le çuuseil m unicipal se prononce nliiciellem ent. olTi oii» publiquem ent un tém oignage d e pro- ‘ fonde g ra iilitde à mnda.iDe Madélome Brohau, à m es am is Bressam , lteM T all«it..^«iter«r e t Miolan, dont h s m m » sont désorm ais iiisépàrabtw -de rioira eréalion;^-< -

tM cm ts .Loc.ition, y com pris IO(j fr. adre.».sé» p a r S . Exc. )’am -

922^50*bassadeiir d'A ngleterreBilicl» pris au b u r e a u .......................Place» payée» au cu n irô le . . . .M. lu Soiis-Préfel............................ -.Brinrhiirc» BcituvuMcl :Vetidue» A la représentation . . . A divers . . .M. de l,oiigu«il, m em bre du conseil

de Priid 'honiines de Paris ' . ' . ..• . M. Dornange, 3 , buiil. M ontm artre;

3 3 '0 0 \ 30 5 0 i

10 OOk13 0 0 /

96 0 0 17 00 lOOO

8 ^ 5 0

Quéli! faite au m ariage de M"* Dupré :M. et M“* VacqucrcI . ..V. A u b e rl.............................M. Voiliirct . . . . .M. et M*" S.igaux, A Saint-G unnain.M. f.ambiii, A V ineuil-. ' .D iv e r s ...................................lAiS artU tes qui ont p rê ié le coitcour» de lèiir

im mense talen t au succès de la répréêentution, ont adressé A M. Potin :

M*TMadeleiné Brohnn .MM.UeiiiivAtlel . . . .

B V e ^ m . .•K ellerer , . .Miolan . . . . .

S 0 '0 0 \ a 00 3 00

10 00 5 00

17 00^

20 00 2 0 00;

« • f eLe» dépeniics sc soul élevée» à

liilérêl» de celle somme . . . . . . .ludüuinilé versée p a r un .s'iour P erro l, de

P aris, A litre de tran sa c tin n ................................... iO 60Bl. Polln verse persnnnellem ont..............................200*00

r • • • •p our form er fc-prcmicr fonds «l’une société de sec o u r/m -i- lucls ou d 'uu bureau du bieiiLiisance..

Après avoir rendu hom m age A la bicnveiltmicc du MSf. Clicvaliur. secréta ire de la c-ommis<imi supéridftre de» se- ' cour.» mutuel» au luinistèru d e rin lé r ie u r/ 'f ic k . m em bre de lu commission mtmicipalc, président-fondàteur de bi société du secours du Tem ple, r t Béguin, m em bre du bi»- reau de lucnl'.iisance du 2* arroudissem eui d e Paris depuis 2Ü aii.s, qui ont olfert le cmicour» de leurs liim icres pour a ide r no ire uréallou, .M. Poiiu s'e.»| exprim é ainsi

« N uire luil, .Mes.sienrs, est de c rée r niio cbn.»c bonne, utile, faisons tous ims elforls p o u r y parvenir. Moralisons.

• C réer des établissem ent» de bienfaisance, c’est aussi faire actu «to patrio tism e <:i dé dt;vouement au g ouverne-- m ent de l'E m pereur, dont la pensée incessante est d 'am é­lio rer le sort des classes pauvres.

• E t d'ailteiir.-;, l'établissem ent d 'u n bu reau .d e bienfai­sance ou la création d 'une sociélé de secours m nliicls ne- non» donnent-ils pas le di;oil d 'esp érer des secours du gou­vernem ent ou de l'au to rité supérieure de notre dépa ile - m cnt; l 'E tal, vous le savez, ccn».icre annuL-llemcnl de.» som mes considérables eu faveur de» établissem ent» dc- c«'tte natu re dont' la bomm adm inislralion «U le» besoins Itri sont dém ontrés, el alors l’avantage qu 'y trouve le p o u tre li»i crée de.» obligation.» envers t 'adm inistralion qui bri vient en aide.

• l.'abseuce «le t«i.ute organisation régulière n’empêche pas, sans doule, de secourir la classe indigente, m ais on^ agit d an s ce cas loujuiu-s isolém ent, et l'cirel m oral n'e.»! pas A beaucoup près ce qu 'on peut espérer d 'une création régiiliitre dont lo im utrô leesIsoum isA rau lo rilé supéricu re , c l les secours alors ne suul pas souleraiml dirigé.» par le cmUr, m ais enctrrc par te désir, l'obligation m êm e d 'adm i­n is tre r ntilcm ent et H’gulièrcm cnt. Eu agissant ainsi sou» la surveillance d 'u n c«nnilé d irec teu r, on évitera d ’encou- r.«ger la p«^îsse, en élnjgn.mt des sollicileur» p lns souveiit^ cn tran iés p a r l'haln lnde de dem ander qiio p a r des besoins, réel»; c n r’it i»e faut pas l’oublier. l’amuiVne crée le pauvre, r i d«w seeoimt m al «Hileudii» «HeignenI l'acüvité eh rz cerr tains individus et peuvent f.«ire pcr«h*o l'hab itude dn travail.

• J1 qnc rinfiuence d u gouvernem ent qui nou*. viendra en aide sc Ltsse conlinuellemciU se n tir ; que les secniii-s siVtenl d istribués d .m ssnn in térê t, el alors, comme j 'ava is rh o n n e n r de vous le «lire, r 'esi faire ac te de palrio- lUme que d 'a id e r A la créniion d 'une œ uvre définitive, et j ’cs|)ère en t;ndmini»trali«i,T m unicipale pour seconder m es clfort». •

L'opiwl dis. la iiréa l, t.iil p a r M. le Maire, les l i .re ls , dont, le re lra il ne peut t i r e opéré qu ’i la n ia isrilé ÿ i lilu liiée o n t «'té décernes :

Le I " , do 30 fr ., A Em ile Dizien (rapprt).1,0 2*. d o 2 0 f r . , à.A lbcrt Maillet.Le 3*. de 15 fr ., A V irlor lleiiry (rap|«el).Le 4*, de ID fr ., A A|fivd-Théo«inro pinçon (rappel).L e 5% «le D) IV., A Louis-Viclor jvtplmmm nèsconiigiiy,.Le 6% de 25 fr ., A Btanchn CHroline-Jtisépliine B ornicte. Le 7% do 15 fr ., A Jfullc-Aimable R a ii^ u t.La céréfnonie a été close p a r un ctNiqilinipal a d rr iiù .p a r

les élève» A M et M“* PoHir, tir p a r le jeune M«lll«-fp5’ i,a reconnaixsancc de» bienfUil» y>»t vivement eX w M iZ,

et l(» élèves, p:ir l'octane de letir jeûne rs /n arad ^^ ’pfû- ,.

Page 2: H O D iam DËPARTElEHTiLES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_MRC.pdf · Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces

fl ’-l»

incllcii) ()c redoubler do .'/.èSc cl tVassi>tiiilà » lu clasic cl auiioraccii.

« S d m dope pcrittiodâit. Monsieur cl M adani^t^diboi^ lin b M p l r ^ V c que nous rurons tous nos elninsim n rrèp im dfè j

» N ous o n ( im n rn s t'engogen io in en ce j o u r , avccHB fv h n t r é s o ^ ù t io i^ ^ j e s l e r to u jo u rs (Idèles. »

Vil de vos abonnés.. ‘ .

VERNEUlli — Quaroiilc*doux gerbes d'avoine, formabi un seul tas «l OvaInOes 30 francs, ont Olé dérobées da.ns'b^ champs au p n 'jûd irc dn siout Roulauger (t.ouis-Fra'nçOls>, Jules), o i i l l i^ lm ir^ .V.ireucHib vol a élé commis ^ l'aida^d 'une voilure et dans une p i^ o de le rre bordani Ip'clieniili.k-------------- 1— .......^ i l y avait'eii»

son avoine nlU pour

obarvler'eellô a ^ in e i U fol lrè< «iirprls‘rfe ne pins en Iroii* ver que d m k làù; le p lus rapproché du chemin av.'dl dis* paru . L’au le u r du vol csl inconnu.

— Dans i a n u l l d n q s a u SC août, des m araudeurs ont m a s \n ü li dans les d ia inps. douze lilrea de hariéols non délacliî^ du sol, csMiaes 0 francs, commis au pi'éjudicc du Kienrftenoisl'(Fr8nçôls), Cntlivalciir A Veniciiil. - •

cemenl dq.m nis.d 'oolqbro il d isait qu'il venall do ran>iissqc A 35'sWillefl-aucK.él annonçait rinlenllon d 'en f rn s irë r

nés créuucierp, l l Aiir-’* . . . »....birqiio quplqueânio

f ir ilin n n te i M irai iquelqn’in f 'd c ia |lqui

oxpiicalion. c l a .tvouA A M. luJugod'inslM iclloii nu'îl nVall couiiuU d *s déhiiirnem ^lH liuporlnnls, mais 11 n ajouté

.............................. ■ « r 11A N -

q t iL f p tu i« o y éà)Æ p a ^ 'c n lixur lu chlifre çxaGi,»CM gardé d ’en Tiidiquer la desliiiaiinn. Il nvall pris

nr.lrtaiiUi>us^L J lvai‘nnruuns-Daf-lui..aiuiUS..diWmniilféill lé côi\i^ haÜlUicl de ses pensées. Dès le commeiP

> l.a rr.i]icn va re ti r e r scs troupes, et loprincipu do non*

par les m pib lrcsjla llün? pour rin d ép eimaiice du sonvctHin- I ponlifei^ ^

lu cour de Rome persiste obstiném ent dans scs refus.

nés créuuciera, lril|ira,]| m ême inanifcsié l'csuolr d e ne su ­b ir que quebtueâ mois d'o prison s’il é la it tiMduit devapi |çs

Ir ilinnnm ri IM tM ll'aussi^au s iour Lefôvi-e qu 'il nvai^chaire iqueMn’d fî 'd c ia liqu idation aiidablo; qu’après le tonibours sem ai|t d o ses créajiciem 11 lu i.feslerait une soninie sufB- «Apte pour,cou liiiae riun ia lT iiràs.Ë nfln , il' répond A celle 'ubscrva'lioh de M. le ju g e d'instruction qu 'un livre de dru ll. trouvé A son dom icile, a < té longlenips ouvert et étud^d au rh a p itrc d e li l hnhqiici<Aule>uudulLMise : • Oduud on' e it dans une niadvaise poslliôii, il eèl toujours bon do'M ren'seV gnsr. ■ Coutette avait des livri'S régulièrem ent tenus; Ü les avail produits dans un procès civil devant .M. lo jn m 'd e paix de Creij; il a fait a r rê te r des a m p le s su r l'im d'eux, mais il les a soustra ilkè lU fir^ fR ^ii^e iM ÿdlirb i^é^ nvoir afllrmâ qu 'il les ùvail laissés enex lui. Une^ nnlQ.g/M

il sera fftii un apprt an peuple mmqini''< • i.ejdéliisçiie 'su fpr.i ipms 1rs yeux d'i|

Si V iclor-Ëinm»nuol'«sl appelé i i /

1 Resserre les ancicTls livrçé el ceux * scs iliicniions.

c 6 ^ a p ’A s s i s s s p u t ' o i s s .Présidoncm de'M .: D.WOST, coiiAoillerA la.Gour impériale

. , dM iniens. •'* Audience du Lundi s ScpIciiiWc.

'A ffA lro f l i ^ A s ^ r l e ( l< a tire n t--E l* i) .. . . -Ffiiix..Dans le courant du mois ilc j.viivier 1831, l'arciiaé sc fil

.igréor, p a r le sieur Xavier Lasallc, dircoleiir d'uiïe compas A nied 'Â ssurances inuiuelles contre les'cliaiicesdu tirage au ■ HoiUii rom m e agent 'd o i'enll’eprlse dans ruri'ini.iissumeiil

-ide Cievmniil. })'.après les instructions dont Diiinporlê êlail • p<ù‘hm r, l'assuré né devait rien payer qu'après la révisioti,. cljm uiëintm l daiis iecns otl il sc trouverait tibéi'é du service

inHtlairui CiCpi>dd.iut; iiU'inépris de <:i‘s mslnh'tioiis, raccqSé -après uVôirT.iit contracter une assurance p ar un siétir Tar- lav,<maçon A Noiniel, vxige.i'de lui la sunscripliuii de deux ciÉdS'.debOO fr; S u r le. refus de Tarlay. Delapnrte iillégiia

■que les yalciirs réclam ées par tu compugiiie A litre du sim- ' ' 4dq -garantie ne seraient noitil mia.>s on circul.vlion, e l vu

•S&el aucune date d 'éciieance'n 'était indiquée su r les billo.ls .prèparAk p ar Delaportc. R assuré-pur ces panées. T.irlay consentit A .ippppser su sigunturo. Mais une fois nanti des deux litres, llclaporte lcs;r.onvurtit ep bltlcts A ordre, eu y ipséi-ant avant les mél.sjepa/eAu', nu iv c i : au viitJjl'oiiiqjuiii

et les fil escompter, lu â f avril, p a r le .sieur Des- umAi', banquier à .Mo'uy. Q ielque temp.* apr«s, lu .sieur ‘|T|^rtiq’. dont l'o ti1s avait étécoiiiprls dau^ le coutiiigeul, se liioqya forl é'ü.mô .iVOifC porlcu r desnillcis cil p;ilemiVnl-<lc iuiir ni lutauL

l.e {"'juilt^l.-Deinporlu prcsciilail û l'escnmplR. chi>2 un au tre banquier, je sieur Waiiel. de N ):iiiles. deux Ir.iites, l 'ùue ;de 5'io fr ., l 'au tre de tidi) fr ., tirées par lui. su r un s ièurL ecoqite. in arc ln n d de fer â IlerllieconrI, qu 'il p ré­tendit niensuugçfemcnl ê tre .son déb iteu r à r.ilson d'un contrat d'assuiMuccs. hç siniir W.tllel .ayant récliimé l‘.ic- ceplatiou di> tjtre . Deiaporto prom it de le rappurtur : il re ­vint le 5 ju|ije.t avec.lcs.deux traites, su r lost]uellc.s il tiviiil fabriqué une m ention d'accepialiuu.par son prétendu débi- 1001*61 h sTgualiife l.ecomte. Il réussit ainsi A faire oscomp- te r les doux drailes p ar l.i danie Wullet en l'ulMeuce-dc sua m ari. •. . >

i.e l 'i jii'tlict, il adressa au sieur Waliel, on !c priant d? l'escomiiler, un au tre billet de 4 iü fr. 30, cause valeur en lu a rc h an d ii^ , censésoiiserii A sou profit par uusieiir Car- ^oniu'l, Inaitro d 'héiel à beuiivuis, dont il avait encore fa­briqué la signature; m ais le sieu r W.itlet, qui n’.'iv.-iii p is taraôA coùstater ia fausseté des sigunturos -apposées su r les ^râilr.s j,ccu’iile. porta plainte A Injustice, e l Relaporlu i il| luiinéilialemcul a rrê té . Ces fail.s ne sont point tes seuls réprochéu A l'àcciisé. t'iu rorm alion dérnoalr.: rncorc que, pendant son séjour de r.-irrondissemenl de CIcnniMil, il n n é ^ i é , .aux sieurs Suliplet cl Dcsuosse, banquier, deux au tres traites, la prem ière, do 175 fr, tirée p a r lui su r nu sieogTDeboves. ctilreprm ieiir de mar.>)nnerie A Calesoy, su r laquelle 11 ayait fabiiqué nue incniiôii d 'acceplntion par ce (k ru ie rs iiiv ie d ü la fan sse sigiialur» D ebotes: la deuxième, q q ,ij .fr., valeur en a^ u ra u c e , tifée p a r lui s u r un sieur « ^ u m g n e ,'b o 'u rh e r A Clermont. an dus de laquelle il .ivait i^ lë à le n l fabriqué la signature Degu'mgnepnur faire croire à aite acception.

L'accusé avoue sa ènIpRbililé su r tous les chefs relevés A aa^diarge/ I l a été eondam néi en I8ti0. A trois mois d'em- priAoRneweut. p o u r escroqueries; Il est renvoyé en outre jagyniljA jafidietioH correctionnelle à raison de faits d 'abus ^■«OMWMA.et de nouvelles «scroqncrics.

I .d 's ié ^ 'ih i minislère nnblic esl o rrupé p a r M. Coleltc- M*;Bôqré'pré.'<enlc la défense de l'accilsé.

- néctaré 'èonpnblc su r loiw les chefs, sans cirronst.mces altéiinanles.-D elaporte a été condamné A cinq ans de Ir.i-

•vaux'forcés.Aiutieuce du 5 Seplcinbi'e.

A f f a i r e « p o u v k C o n le K e e t l ^ i r o u t l e l l e .Banqucè'Oulc frauduteusc el complM lé.

Couletle If^déric-Automê^Joseph), âgé de 28 an.s, mcu* [h jèy .clJi^rçnaiid d'e farine A Verqeuil, .i élé mis en f.iiliiic

ithr 'du tribunal d e commerce de Sentis, en d.vteId 'i l^ c é m b r e ISRd. Aidé par sa femme el par Lirondello, ’

'l^'Au.-pêro, cuiliyaleur A N»geni-les ,Vierges,, il a sous- i r a i t l i v r e s du. eummerce el, détourné du plus grande p ^ m e de sou actif. Il jouissait d 'un crédit imporianl et TtlçâU beauconp.d'iiITiires, lorsque I» 20 oclubi'p dern ier il fhrèéndA m iié p ar le ti ibunul correctionnel de Glénnoul A ItoiA inoisd'eruprisonncmeiil cl 150 francs d 'am ende pour YCide et m ise en vente <le farines falsifiées et corrom pues.. Sa iVmu.vâlse foi lui Ht perdre toute éontlauce; il fut pour- ROiyl di pro|i.usa A ses créanciers un arrangcm.’nil amiable Adx tcr(iji:>>. duquel ilgHranlis-siiil. snits lecuiitionnem ent dè ë » i‘ b^aii-pcre, te paiement dd ôQq). tOO. Cette conven- t lo h tu t acceptée p ar tous e t elle devait être exéculéc quand

u m éprisd 'un engagement doiilil-

nvuir affirmé qu 'il les'AvailfemjQ(‘;qd.nsi conçue : • Res — .de sèninlno, • ne laisse aucun doute .Malgré l'jbsiMiru des livre.s, le luonlant de.s soiiinies^ üUsi- muléos’ a élë évalué p a r le syndic A 45,000 fr.

I.'infurnialion n étabtf qiio Couletle avait eu pour coin- plicc-ssa fémoio c t sou beau-père, chez Icquélclle.s'élnit ré- filgiée. Ils nVnicnl su cnoher, lofs d 'une première',perquisi­tion. tontes les pières qui ponvaieul ics eomprorh^ityc, niais oine secoudo visite inuitendUo n rait déennyrirdé.s' paprçrs imporiiinls, p lusieurs feuilles du papier pliées bit forino de calepin ou .agenda, portunt su r le prem ier feiiiilul : ■ 18J(>. jnun ia l au I " novem bre; ■ près des cliilTréS devant servir A une co>u|iiabilité'SeRrèle, deux lellre.s éi:rlte.-< a\\ ciMVon p a r GoitlclIu t ru u o A sa fenitne pour lui dem ander avec instance son n.-ilepin et tuut ce qui » dedans; l 'au tre A t.i* rondelle polir l'inviter A parliig<*i‘'ses biéns.et A vèndi'e sa récolte. D’.iutres p.)piers conslufenl des p.iicmonls opérés depuis le d épart ile ('nulclle, par sà-fuinine, pour mio somme de 8.50 fr. 60 c.; el p a r aOti beau-père.'pour celle de 3,028 fr. 37 e. Or. ni I un ni ra tilre ne peut proiiver com­ment il s'est [u'ocuré cet a rgent pour payer des dettes pcr* saiinolles an failli.

Il résulte m êm e de rcnq iiè leq ii'iisétaien t .-ilorssansres- snurco. Soixante vides, (Kirtuiil des noms de incmiicrs en relations d 'affaires .tvec Côulette^ ont encore été décoii- verts dans des bâlim eiils servant A re\p lo it.itian de ia ferme do hirondelle. Ce.s s.ics ne devaient A aunuii titre so Irouvcr en tre ses m ains. Il prétend qu’ils-ont été,' p ar m ê' garde, rhangé.s contre les siens; mais son gendre le dépijè, uLlui-méme Unit p a r ivro'tinailrequ'H a en tnri de'les con­server. S;( fille en a reçu un certain nom bre A la gare tju chemin de fer, et le.s a'porlé.s chez lui, on elle atlcn ijait, d it-elle, qu'ils lui fussent réclam és. :

Lu p laiirher du grenier avait ctdé depuis peu de lemns, r i il était facile de recunnaitre qu 'd av.iit été chargé d finpoids trop lourd ; il no resta it plus louiofols que deux sài-.s de blé. de qualité d iffiren lc. Un témoin a cru reconnaître l'un d ’eux pour l'avoir vendu A Couiüllc : il est convaincu que le heaii-pcru et le gendre s'euloudaie.-it pour friin Jer les ineunierA. Ainsi l.iru jdeile e l sa bile ont possédé divers registres, ils nul fait iivcc l'argent déloiirné, de.s p.iiemenl.s iiors du propiii-iion avi-c leur-s ressources et ils un't rerélé dos II) ireh:indisi>.s au préjudice de la m.issê.

La femme Con'ette s'oeeupait de i’iidminisliMiion dc.s affiircs de 8011 m ari, elle était Initiée A s-s opéraliou.s et conunissait sa siluaiiuti nonunoreiale. l.e tiquidiiieur am ia­ble s’en est convaincu en rcccvânt fréq-icniinent sus recoin' inaudaliôiis. 11 n'e.sl donc p.-is admissible qu'elle eû t, avant la faillite, économisé su r les dépenses du ménage uiitt somme de 1,0;>t) fr. qn 'elic aurait portée chr/. son père pour payer des créanciers; son m ari et Lirondelle.onl déclaré qu ’elle é ta it arrivée sans argenl. t.irimdcllu An peut non pins cx- ptiquer d 'une iiiiiuière satisfitisanlo roium eut i l n disniué en moins de q u atre mois d ’niie smiinic inipoilan te uans l'in térél exclusif du Liilii, il c ta llgé iié pour payer ünedello de ISO fr.incs, e t quelques mois .après, il .av.iil versé 3.G28 fr. 37 c . : e t. lors de la perquisition, il avait encaissé 700 fr. Cependant, Il ne peut réaliser dans sa ciilluro cpic mille fiMiiroi de bénéfice; il u encore produit A In f.iitiile, bien que ses com ptes avec son gendre parnis.sent avoir été

'glés et term inésLe siégo du m inistère public est occupé p a r M Parin-

gUMlt.M* Marcel l..eroox est ch irgé de la défense de Coulolle.M* Emile lArouX. du h irreau de PAris; est chargé de la

défense de la fetum e Couletle el de Liroudelle.CoultUie déclaré coupable, a été condam né A 12 .ins de

Irnvanx forcés.La femme Coulelle e t Ltrondclie on t clé acquittés.

Audience du Mercredi 4 Septembre.M. Nez. .s'ibstitut du procureu r iinpérhd, occupe le siège

du m inislère public.A f f a i r e (J is ille l.

Vo/< quali/ië i.

51' Renand-nose, arncal, c.sl assis an banc de la défense..DéjA condam né dix folsiiour voi, vagabondage et rnuiiiro

de ban, le nom m é Qdillcl (Jcan-t,onis-N)colas-Rem}),'.'âg6| de 20 ans, dom estique, dem eurant A R ibicaf, subissait sa' dernière peine dans le.s pvisotls de Laon, lorsque. Au mojs de m ars d ern ie r, il s'accusa spontanément d 'avoir conimls cinq.vois, dont on avait p.is même .soupçonné qu 'il p û t'ê tre .raultiur. Deux de ces vols étaiont amwupagné.s de cirm ns- lAiices aggravantes, el avaient en lieu A Rubicnf, en ISéÜel 1857. Qnillot fui mis en aronisalion, et cette .nifaif-R dltrail ê tre jugée aux assises du mois .de ju in ; mais, p ar suite 'do

ith 'dcjtf'dc VCAUrfê, \ibbiifltiU do divers fri _ _ ....................................... .

f^'CpiRçUe avail reçu dèpui» qiiRlqii^ rpojs des UThb'ii0 }

In Apihmc de 33,035 fr . 7b c « su r jaquçUo !c do divers frais cl avances lo ila it du A des ronsi?

LiTPjHletle v ip tliil niônie,'ai^ju tbujbtirà conii» la pariée. déposec au 'g î’elTd . le bilan d é lofi gèiiilrieVCc bilan ne représeiilail pus la' véritable si- luiilloh'd.d failli: il accusail un passif de 92,231 fr. ,25 c ..e l uh 'dctif'île 42,160fr . 50 c.. qu'il fallut réduire, d 'après l'in-

Ipti -.1- n —■ » — . . . .

rerliçti. .h i de m arcl]|àûdis^.revenditçs àilcom ptanl.

,j020 f fa i iù environ;:)!.avait..lo iic ité récemment traitcschéz tericÜi'n'emisson, escompteur A Creil; ce- )1]l iie yeiilait rieu 'dans la caisse, et remploi de col ar- 'À pùièti^/déeoüvrrt ; les livres .avaient aussi disparu, ‘ è 'A anitbriçé q ii ll les avait epinorlé!) A.lii'maisou

e Cferhionl', où ils lui dut été réclamés, mniSjii n'a du jl, q ti 'u n . regiidrc .carlonn,é appelé p ar lui son grand

•••ijH.'ét' frdjS çaiitôrs.intiiplé.s ; ■ Joiirniil,.grand {iyré cl 'liisforiqdR 'de ih'eA opérations.'* Ces cahiers s 'arrôtonl au 21 avril 18C0; ils çn i élé .lracés d 'u n se id .tra 'l, par Icsîcur l.efèvre.pomplable'à CourbevoicI sou's la dictée de Conlello, 00 bien en coiisuRant quatre .on clriq cAlojiins que ce der-

. n ier av.-ïll jBosa ..u .i ...?..'.i..:.

2ued(i22'a*'mllidIÿ.AVé

■ f e

. . . . i e n s a noMc8s|éa. Qùant au rcgii^lri*, il. ré^<iillait

2UÇ d ù '^ aVril.A1b.da1c du jngenicnl déclara tif déraillilo, ^Ijdld.AVAR réçiL'qii o p è re s ou en valénrs 55,586 francs,

ll nvàil payé 2,100 fr. avait donc A JusiiO é^ d'après ses propres éériturca, féil frqnçs. Il a refusé au-syndic louto

l«.stroup(is françaises seiStnl tvlnvées licnnes', et Itf r o i ‘irilnfip^ 'iiniies'.'et lero iiriln fio^pbh)io ra-'|)irT ènk iA iéM f

[if lui aux pnlssffhccH cAlhnlIqiiés; aunsilc U q t^ e p iw g e i? ' indépendance du Soiiil'-Siège. -> '' ' '

— On écrit de La Kère an Journal do l'Aisno :• De.s oxpérienees cçnipara tifcs des fusées de guerre

entre un systèm e èom pusé.,par .un ^ ig la is avec re lu i en usage dtAis rannéeT rançaise,' ont c in ie u vendredi dans In u'airic do La Fèrc, devant une rominissinit roiuposée d 'o f- icièrs d 'nriilloriu du. no tre arm ée, e t dix Anslnis étaient trésççis- ^ c iç |^e ^ ):ir ces fusées a été d'environ)ré.simt

louieln

^ L 'a n tiiju e ab b ay e d e P rém oniré;qüV ^érC a11 'A U rre1hlA ' d e m a n u fa c tu re d e g la c e , e t q u i to u t ré c e m m e n t a b r i là i t u n e in s ti tu tio n l 'e lig ieuse , v ien t d 'ê t r e ra c h e té e p a r l e d é - p a r le m e n t d e l’A isne.

I > conse il g én é ra l de l'A isuo e n ’n'décic |«U r.-tcqüisitinç d a n s sa séau cu du j e u d i 29 a u ù l : '■ .. .

— l l y 3 qni‘lquc.s jo u rs ,, lisons-u.oiis d a n s i^A rg u fS n is^ sonitàis, u n e c o n p i iu n e d e l 'a rro n d is fu n io q t f é lé b ra i t .sa fdtp p a tr iu ia to . Selon l 'u sag e n n iiq iie e t tra d i t io n n e l de.s. isinip.-Ÿ g n c s , u n e m én a g è re d u pays ro n f rc tio n n a b o n n o m b re dp Q a n c s .e t 'le s m it s u r u n e ta b le d a iis so n fu ifr iiir iu iti khis re - i a f ü s iu d isc t'iits . IV n d an t iiu e .co u rtn -ah su n cn q u e (Il Kuittÿ içmpn^* iion Ane a lléch é p a r ro d o u i; d e l u patis.seHu-iihaujdO p a rv in t A puvrir-i.v p a r ie d u fo u rn il e t s ’e m itre s s n td è i .se fo ire les hu n n cu rs . d 'u n rep as q u i i |v n il p o u r lu i to u t In mé* r i te (Je la n o n v e .u ilé L orsque Iq pro[>riétairr> f i i l ld o re to u p q u e l s p e d a c lc iiie rs vint s 'o ffr ir A sc s -y iu iv L m a ître A llborop e lc n d n p h r te r r e , In tla u t co n tre le s d o n lu iir s il 'iiiie in d ig es- jio n im p o ssib le , c l e n to u ré dc.s d é b r is d e vhigt^eiaq.n.itis, iém o ig o ag as ir ré f r .ig a b ie .sd c s .i c u lp a b ili té .

B ien tô t to u t le v illage su t l 'h is li i ire e l cliifouh U’oli i 'irc . L’ap p é tit p a n ta g ru é liq u e d e ce b a u d e t , f e r a époque- d a n s lus a n n a le s d e la cn m tnuu» , c a r av a n t ce fà lt tiitcu ii h a b i’- (a n t n e c ro y a it q u 'u n Ane p u t c o n te n ir u n e s i g r a n d e q u an * l l i é d e fliins.

. — l,es travaux du canal de Suez sc poursuivent avec iiiiç a rd u r infatigable. Huit mille uuyr)vrs sont répartis: en ce mnmenl-Kur un pnrcoury de 75. kiloniélri!8,<iuste bu moitié de la ligne à freu sc r pour la, réqniou d«8 dmtx |ü)urA.-On calcule que, dans le courant de cet tiivep, Jea- eaux de- la Aléditerranée pénétre,roui nu cm ur de llsthmoi- c t 'l 'o u a la certHudc q u li fiu d ra beaiiepnp tn.ninsde leiup.s ;p(mr p er­cer {'autre moitié. Q ned iron t alors les Anglais, condam nés A u’é lre p lu s qu'ù 3.UOO lieues de ('Indu au llCU du 0,01)01 Vous verrez qu'ils eu pj-cadronl leu r parti ioiR em iim e ce vieux cap de Ronnc-Ëspét;iincc, qui sera relégué dan& un nbandoii A peu près com plet. •* ' ■ :

— ■ Si l’o.) v ien t p o u r m e d e in .in d c r d e l’a rg e n l , dit»‘.< q u e je n 'y s u is p a s ; m a is s i T on v ien t p o u r iit 'im p p p u l 'te i’, cuvoycz-m oi q u é r ir , p u r lu iile la m a iso n . • C e tte i-enim oi.in* d a tio n q u e .Molière m e t lian s lu bim eim do so n H arp ag o n n e s e m b le p as ê t r e c o n n u e d ’n ii p e rc e p te u r d ç l 'a n ’u iid is- sem ufit du t^iA ïu .m -'ï'liio rry , lém .iin .le I r a i t .s u iv a n t ;

•• i! y a 'ju .-lqiie.sjiiiirs, u n d isc ip le d e .SL-Huiiorl sc p ré - sim io un gui.cli.‘l d u i> u rrep tcu r en « |;ies|ioti p iiu i'i confor-' m é m e n t A la loi, ver.sor e u tru se s m a in s les 25 f ra iK se x ig é s p o u r le reuouvü llum un t d e so n p o rt d 'a rm e s . .

— J e n 'y su is pa.s, d it lu p c rc c p lu u r . en le re g n rd a u t .c n face . V . -■•

— C o m m en t! vous n 'y é lu s p.i.s? lit l 'a u t r e to u t ' ( 'b a h i; est-ra) q u o vous n 'ê te s p is m o n s ie u r u n lidT.Si r r u . rép iiq u e s to ïq u e m e n t r h o iu m - du n itH u cis , m n s j u vous ré |> è lu ( |ne t je*n 'y su is p a s .. . d u m u in s p o u r re c e v o ir a u jo u rd 'h u i . ;

-Devant u n e répousu au ss i e .;il(gonqu t)., n o tre . );h;is.<uQr s c r é t i r a , c iie rrlian 'l A s 'cxplic |iir-rA lu i-m érue- cum m eill ou p e u t être e l n'être pas !t la fois A la m a iso n u n .A so ji b u re a u .

N o u s n o u s l 'e x p liq u o n s t r à s I iien , n o u s , q iiam j II s 'a g it d e c o n tilb n iin iis , p a r r ê q u e to u jo u rs les feiiiliên d ’uvortts-. se iu e iil in d iq u e n t 1rs jo u r s c i jcs h i 'u ru s d u pc rra ip iiq u ; m ais ic i n o u s av o n s p a r ta g é la s u rp r is e .d u ch a itsv u r, ratr. la loi q u i ré g it la «;h-is.<e u assigue pas.^dfi Jp iir Use p tm c .lo versfc* in e tti d e s 23 fr . a u 'c llc ex ige p i i . r e |m i r d q - .p o r l d 'a rm e s i |ù ’n llc acco rd e . D 'a il le u rs , d a n s la c trc u u s ln iic e . l e p e r r e p - ie n r 'n 'a q ii 'u n s im p le réio ip tssé A tl(»iiqer <tl, ip u is . n e rom -; p re n d r io n s p as q u e . poin- u n e chose q u i d m i tu d c s i peu de; te m p s , il r isq u â t, s i p o u r te lle nu p ^ io rgisuii- U'n'!Y<AiAit A’ «c ra v i^ c r , d e p r iv e r l 'E ta l e t la co m m u n e , d 'u n u re c e tte to u te facu lta tiv e . > ; , ■ . ,

Sans'sc préoccuper ap ircm eut (lo.cp.petit incident,.cil»cop- tiiiua de vaquer A soii ménage,.inqi|^<iolendRinain, e llo fes- Sénlll de légères coliqucs,.qi|ii .nt)gmpnlèrcui au . pqiu:li-de lui. ciiliscr (Iau8 l'e.slomae d.'jiorr)h){u|( souffraiu;es, dleadaDt trois sem aines, lé.s douleurs étaient lelle.s qu 'elle nu pou­vait plus rien supporter, e l ((u'ulic. dê.suspérallîidô pnuAoir y siirvtvre. Enliq, lu i l nnùlr.après des clforts inouîlV elluj pat viiil A jVoiuir uup grande ap iau llté du mal ière.s non dl-| gérée^, dân.'i ie.squelk>s -o it..trouva.un léz ird-.v ivant, qui, après éfr() sorti du l’innW de celle femme, n encore vécu' diuix heures. Lo lézard , q u e nous avons.vu, a été déposé

De leu r boit Iclitps passé ne pictircnl pins la pnrlr,i Quê lu répares A g rand iro L .

Vcfratigo les produils, Iransporle la dimrée ,■JJwiplwAins cont nie ;'I ju ë p a r Iq lle progrès règne d e toutes p a ris ;Apporte raboiidance où la te rre esl stérile,\m travail au village el le Inxc A la ville.

Sers le com m erce e ' les beaux-arts.

i.’ignoral)cét.^Abbsfa^l^pM ^è^il‘iil'mlftrel, "^ J n pouss(« èii.Avaiil dcs.payseii arrjèjr^ef . ,■Üii (>enple qn l s'’éudn'rt s’étrille'à* l'a vaiieur,

' Mmurs. its^ge. Ûilléréls. jUBj* lo irlou ta ’ a i h b r e , ;Tu proelamM léÀiloiA'hqf.lQtif rhom rae blus^libre,-

L a ra u o n ,.q u i.la ,iM inMIIeur.

G rand co u rrie r é«)Vatois:el i l e la. Picandkiÿ i

Est p o u r eu s dq ParlR;le lii^,el.4eipui8ireuri.J 'cn ieuds le b ru il lotniain d e la m asse Im im sanle;Mais quels c h a ru a n ts aspects au voyageur présente

Le imys que loA ira in paircoarlf

fToiil plus rien de nos ro » u r u n lorobeau sans reliques/ Où tou r parle de m o riq t d 'hnm orla lilé ; i.ivry. d 'on Sëvlgné, a tm e-p ln m e facile,Adressait A Grignnn ces 'le ttres que leu r style . . . Adj;ejfseè Ja,i^léi;iljér , , . .

T rom blay, Sévrnn,.Afll'ry, dopt Jës ftlalncs ferlildi ’Dê W0fsVif,hP8'oi6ls.*{bil!i'alffnBhïéùl nos y(llea';'v Cbmpans, où so b tâ^ a |n '|tld ')d i^ d A gpe.< »ç^0((1 h ihn li^ 'eu éa yAReé.hn sild'pRIçm 'ùli.c,'', ' ..6 ii p o n r ii jù l dè'cé'ùfp1é^è.'Cb(^^VI'œljvr|i'6[i)ia1l|c^.qlfé•' l*6riÔ‘8UriindhlhiéhSB'é‘rceau'. .',.7,.',, j' Tliipuxÿ déjA.roiiomoiépuj^aou cau>minérale,- >.Otiid.Ni>s l(^beau>valloD;oùi8oudiftteau «’élèiei

• - • ** --ly. e)

Où l'ncurcux

.ngrénienis de. K ierrcfonds^iEpghioaj. . ler  l'enfant de.Sioii «d jln Dinde,

.■Aura les agi Jiiilly, c h e r .

SainltM nrd, où le w agon s 'a r rê te dahs sa garo,'Dont le châleau:n’esliphiA, don t le'cl'oahcr osi rarc,El dont la paroisse A sa in t M èdard pnur patron .- ’Ici, 6’est D itm m arlinpdu h au t de sa inôn i.ti^c , ' ■Ce beau chef-lieu: dom ine une vaste'èaiqpRguc

E l b rille en ro i.de sun canton.

Ou y voit en d éb ris ce châleatf-fiirt an tique ’ 'D'où l'oeil em brasse au loin un labléoU ùiagnillque.Où des conilés vivaient jmisAAùfs «im ùledâs'tm iH ; ‘ . Ses maisons, ses ja rd in s s'élèvent p a r élAgc,Et scs m oulins a tlfe louriienL dans le nuage

Où ses cio(;hçra pùj:l$t|1 lep*' Çrujx.. <S;ilul! ô mon pays; c 'est loi q u i in ’as vd. n a ître ;Ton Hcf et tes hérôs n’avalenb qu 'un 'rùi puu 'fn iaitre» Tes.lonibes ont un ill où dorm ent m es aïeux.Ton ciel (l'azur m 'inspire o l ton am oui m 'enflamme,.Tc.s enfants nm sont chers, In 'pa ix pluil A mon âme,

C(>mmc ion beau çilQ ^ tiies.yeugw

Voici RouVi^cs , pays d 'i lc r lu é r , cu liiiix ; i.agny, (le.s tem pliers m on tran t la .sépultiirc,El ile 'scs M m gpériers.toujoqps-lirnreiix et lier; N anlvuiL-par son cliâtoauv,célèbre dans rh istu lrc,El i|u i, su r sa N onctie, hunurc In n.iémuiio

De s(>.s GuUe. et de sps Schoinburg.

l'.â t'répÿ , du Valoi-s aiicienho capita le, . , 'I.CVU lc.s'iïiurs où , las d ’iiiie gneri-é' fùlpjè,.Un (im'perènr sigu|) la 'p a fi;q ù 'p 'n Voi Voulait (2); t.à.,V i!lérs-C iil|crels,'veuf de 'sa Aeigiiéufle,Pleùrç se.v d 'O N eans, s 'honore dû géiiië

D'un dèsiji(>dtiçr çTd'uh’t ^ p I é l / .

Quelle est ro lle cité rian te au b o rd de l ’Aisne! 'SitiHsnns, lu haute to u r s'y m o n tre on suu'vcrainn;Ir i, te train s 'a r rê te au pied d e les 'rem ipaiis;G rande cL forle déjà sogs 0)o'v{s«t Clotairç,Ton séjndr est cncor dans la paix dans là 'g u e rrc

. Chéri -de Minerve el d e Mars.

Parcours dune, d wAgon ! celle ligne nouvelle, O û'uu.dcstin. p /p t^ tç iiif t e guidé,'OÙ l’o n 't ’apped^f Abrègp la disiniiçèçfrapp^pefae Ia i coD'grç,. ll«'sS(!rre bi lièti qui doit u n ir tes nômfnés, 'Que le progrès qu!oii>ajine en.ce-iuoiideiQÙ nous sommes

P a r toi soit aussi d a u s nos m m uri:

Va d ’un ràp1d<é él^i(i:|par delA frontièresDire aux voisins,qgç ùOtis sohiinds to u s frèrc.s;Que désorm p^ la .^ in e .e s i MB'ur do la Néxya;Fais aim «r J ù 'f f de, la 'finance.Porte au m oRaeTainpûr des arls^ de là scm ncé,

El de cé Chri^i qg'i.là sàuv^.

de P aris 'la province proflle, pauvre soit mieux sofjs le toit qui l 'a b rile , ! ts l’insiruélion; ie b'iieii-êlrd eù 'lu iit llcuv

hôic A l'hum me sa~peine:eLl4 lemp.s.qui. l'em porte,El, s 'il bénit.le.bicg quo la .p résè iicc .appnrle i.

D is;lg |;quoitout bièn'.vieiili4e Dieu. . ; ■ ..,. â . t - i r .. v ioW laO FPnO Y rdé D a r t^

{Il u . liippnlyleiêjiiuiiê. .• ,[,• ' .(2) l/cropeçfiir jqfiarje^iilnlei F n^ .........

Jeuucssei prigUm po>de lAÎ|r)e,'ïige d ’dmeih'-;è1'.dilui|(|* cclice, dp plabiii^ JO: sa.gt.é.i te iCQUrùme ido

• — . . 1 - ------ I-------- .... --------------.- t (tj^piaclp

,çhn8ci> qù'Otfiitr qu i 1 I fllq d 'p

prison A I cpoqiie où ic pt einu-r dos doux vols q- lui étaiont rcfirochés avaient ôté cooiuii.s. La (biur convoya cette alTairu A la présente sos^mii. U.) supplômenl d'Infor matin.) s u r le second vol a é:é f lit, r t il en es! résu lté la preuve que Qniliet n 'é ta it pas plus l'au teu r de ce vol que du prem ier.

Accablé pur révidcncc, Onillct s'est déridé A confiwser son mensonge, qu’il n 'a f.iil, dit-il, que p iiv-e qu'il au Iron- VHÎt sons la snrvclllanre de la liaUlc puliceduiil il redoutait les effets, il a été ac q ù illé .__

. — Le nom m é i.enoêl, déclaré cniipabic d 'p tteu lal A la pud eu r, avec adm ission de circonstances atténuan tes 'a été condam né A un an d'empris(n)Uemen1.’' H* Blancliel était chargé dé la défunsc.

Cette alfairo n ét é jugée A huis clos.

F A IT S Ï ) 1 V £ H S .

— Il vient di> p ara iircrh ez Dimln, une brorhurciufilulée : 1 /Empereur. Home el h Ilot d'Italie Cet -opiiRniile. dirigé conire le pouvoir lemiioroL c-l conçu dans le .sens de l'iiniir iLilkuin«; voiri, d 'ap rès un-* dépêche publiée par le Times, quRiiu'ct) serait,la siibalan^-e :

• Il est iin|iôssiblc do voir en ce moment A Roint! an tro ' rhosc qu 'un Cobloiifi dirigé coni re le roi d'Italio , rom poreur des Français, la civilisulioa, le p ro g rès ,'la patrie et lo- liberlé.

* Une pareille conspiralio,i ne peul-ètre toléré A T.ibrl du drapeau français.

tNAUSURATlON DU CHEliN DE FEB DE PARIS A SSiSSDNS. 1" SECrSMBRB 1801.

Le voilà, ep w agon objet de notrô attente;It trace d an s nos cham ps sa cuiirite lRiumphante; — rl/ i vape.nr se com prim e e t boiiiilouine en son «uln.Il parV^liyole, il slfOo, il est beaq d'épiiiivaiile,Il d éV p ^ l'e sp acc , ét sa ^ é u l e éc(im:inte

« V''* 'VO»l"'S» MM WM-UM.-Ifflie r à ^ i t r d ’uù b.eug ciéj,P'Al^PiitWÀgfi: IFs d ^ i r s J e idontrent

lu};, 011

Imil (lu feu su r son chem in.il crache dans les nirs.ilès glolips de f u m V ., . Prom ène en,sonvoralh sa merveille anjn'i'-p,Le rail crie el.lc sol Irenibio au loin.sons son poids. L'oiseau Iroiiblé s'.-lfraye'ol fuit A son p,issage,Le cüloii, p-iiir le voir, .>.uspeiMl so.i labourag !,

El l éclii) mugil son.s sa voix.'

(àimme e • doux rayon doni la chaletn- f '-couili*,-Il porti* l'm lusIi-ie'iM les arU -I ok m-iiid.!-,VjTi- iin.age du te.o.*; pii luii n vieul tddj inr<,-li Viiil peuples el rois, ci la «rèrhe'et,L i to nfr*,El l-i tour qui s'élève cl le p.d.iis ipii tombe.

Sans que n cn n 'a rrê te sou rours.

Salut ! (ils d\i génie et roi de la \iiessc,Fais e.iir.uler chez nous la vie et la richésse,Donne nu soi qui n 'a pas Ce qu 'un sol a de trop. Que la voilure nntiqufl et lu roule déserte

! ondo pui'oqu'àucQh rçpl I n 'a Ironblée. è l à ù | r ’’ ({lie le.s flRu'rs d , 'I partout le bonhOüj;, é l.rééA é |^llte I in es cc frais bobl,on. Ùul

du priniom ps. cxém'lii m i^M èiqe ' ‘fleu r . ' ■' ..............1 .

Ton souvenir,-com m e cet nrèntR io'qiio Ie-royA géurènf -porte- d n i» iRA- iW lo,: rëpahdi-Hù-jttinUitf-d'iiiiiOisenécr- à d 'arlinur s u r loue lés jn ttin -de inotre vlu; n’êsIMé bercéAji de roses, c’est le rosier dè'pAix d ù 'h o trè Ame, lævelnùl (^ idée, su repose des fatigue* du -tttuntle el'sqgtlA pit' d ù .^ ptide des ikawiogS) Qyî d ê doUs-iFa regrçtbé' éèl Kbilrém^ tem ps de lo j^uiVeHSè : loitl éliAI‘ Ai bciatt^'jfAhd'oH‘aicwi|*; meiicé CR'vêj.tgede la v ie l■ ■ ’ '■■■•i.'•']■■ ■ - i ; (;ii

Ail! si A re-ROhVêfiii> sé hfêlëdansV oRie Ame celui d 'unk fenirnc i|ue' voùs' .aithileh-S? le c teu r 'do ‘èèhê fetiimi*,. en n.dssiiht dU'omonr.-U-pttlpilô-sdus 'vo lre' i)mid4"mé| comme La chrysalide qui^ briKlnil RÔn'envetëppéihtUildi'iA vie 80US lo caressant rayon d n iiialiti; si vos lèvre.s ont re- --------------- --- — . - jpcueilli une larm e lourluiiile de yeux,com m e unidè résék 'q tti,'dù sent (l'ùùô F ( ^ j IraüÜff dhnÂ''ié ca d 'u n Ijfë altéré , et. Ai vous Ç on tÙ ^Y W cbÛ b'i'fbù jn'éat |lU s des conflàenceaT^'.iLf^pfiiit^ IdùliS -ifoîlKîïisa jiénséc bri\l:m io dç g'éùib o i d 'Am bdr'.élérn.............iw iéùdrcit aétiii.ménls (jii’ellb‘É^I‘ ^ '‘‘ ^ *'^''plus qti'A m ourir, vdtre éoùpe do ,.........

Dans i‘M Age où râirtO CRl tonlR vérité, of^lott^;eA'f rfliHfbî pour elle, le jeu n e hoiûmc ()ùi enli-o d a n s 'm 'in k iid û co m m e rc l aveuglo qui, p o u r lA pheintèré fnht; nilyi4 îd yègx A In lum ièrp : il ciit éblotll dç ànirréclAi, l’IiiiittleiUqu

Page 3: H O D iam DËPARTElEHTiLES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_MRC.pdf · Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces

. rleus. 1.1 ninglirncBiiri! ilo l.\ lulm-B. 1» ‘l“ "."î

ceileJAlt<«WI>i du p u r i iw a ^ t l«aH jro A». UOI* <», Il

iinfré i h

t f b B ’S W 'W v IellIU 'p rt.' ' ■■’-'H 'Viçw» pF^K py,.dc;D ai^m fl^lîii:

(.«! natidi'l «’i'oU qu 'il va tiio(irir: ‘ '|U iiK in 'ô> r|ii re p u sru ii inaîiro rai^iiUIpUjio.” ' ‘ L a n u U a rr iv e cniln;L'Ano vlopln ulopniil ko trah ie A auii utabio.

innlheiir Tiiil (i'iin koI inV'maliii :* A |i|w li(t0b d h 'il 40 Uieur, iiii.prtijcl enViiÿalilo : N o t r t f ^ n r c . A hun d ro i t . r.niigiiuiU du l'appiSH'Iu'r,

tu vuiidrc au hpiirhvr.' l*0ur £ ttro r lu OhirtV^o p^iiilioxlrëino, 'RelhnrHVh'ii lahouragu ci Holn'hi douci'iir même! ■ ■ l ie ’h^iiâdmahi, le llieu f fol plits dnii^i qii’iin. m»rtl<Mi.

^QAt*rilf11t)ru d 'c o ii tc n it ce t u t xon ronipagiioii NdK ‘h('Ü6ÏoiB oui rendu le IravuH n ë c m a ire :

' C« què tSih nù rùil pim, tiii Alliré doit le fiijfe.' ' ‘ r T o ï'd tinc , ROI diKcourcor,H)ui, p a r des arguiiiuiilH que le l)on tieàs nihilUmoc,

qllKp dëiA (iiüu coniiiiu.pQU^‘ le& 8 r lk |ç ) ) 4 e v o ^ B ftÇ tt M . Hrta»i RéXfiCWOiinaïulis Irfi» p o ù r lu fioii|ic f a p n c a i lç u q u o itr lu m o d ic ijë d u sck p r ix , nitisi q u p d^fiiu, icii;*.! .t ..'I.Jfiii l.!!.. #iiii> iii.1 nuilluuitiiild o n tdili* lll ill lU KI11’

• t a m u U ü u u lü il.C IR A U IiT .p lu co d o rjIOl.çlii M I k,S9Jir<2ji.pour ij. ________________ , ..............>.. . 1 1 . , -qô ’il y Îi']dhd, |rl4 que lc.4 pii;H»ssvJi», cii,jm |c,,n lu l «I. l'M '.

iftolOn» h*« nlüCi», cocos, Kparlej'lcs, süjes vèg>HaJus,,lapi)!‘ . prosKus,'nulles liiiilluiiiM.*i»i4'rrtiîdtiïO?’Bllllc'A iif:niger. *• ■

I l }' a aussi lin aruiid clioiv du toile» eirûps.pour iiieqiiles. jCiiRHlIci cl nj^'iariumciils, d»U» loules les dipieqÿhitw, ut foll s liiipHniiëabicrt poui’ Idu du iiialqdus pl.dciirald.ÿr'i ëlofTcs raoU ldiouç, iabliv.ra.'lultulu^ ut. Iqdt CU.qMi,àc fait un «.lodichouc.

’ Jteg» ipPTBm<p»ie Jf twWÿflg tfu ag iT H tüW ii; Brttrfiltfd* • de i»l«t«d»abpraleiir H: fielgnoi^^que • iioi^ '

p la > M V lf r i r d l t î» « J w S ^ ^ fr.,v

' s: <ï,.i-iiac,‘dii io itiy d il nu BiCüf/isA’ii tçm pi’&lW»N’‘03itAa Jti jnsiiû’oiïH qlr, prwsô,pjfr. '«Igudlo».faüi!i»sfi'i,KadsrfilâelMiun,pô|iiblo»illu|i.Ouatid d’uii travail trop dm- notre m aître i accable,Puisque lu le sens fori, q u e f lO in ^ m b u R iiit ^ '

lie lèp^em #v^dn> ji»c d W ,lefeïiniOl^ VéUl.niehei* soit Bœiif au labourage :

j ^ d M t d ^ d l é liNi]M»e d « » ^ t ^** ' ■ i|iW W ruj-eur.iip ‘

t r o u b les re»prll,diiJr«v.alU eur, * ' ' ''K lïn8»*g;irdc au so rt dé l'Aiic 1

iie.liit/Vn in; Irouvoni'* pas h eu reux p o u r so rltr dum li-irras.

> / Seigsoret.

Lu tabletterie birru iipe grai;de VâriélAcn pbj^ls utjleti ogrëabk's, ainsi q»é dans lus Juii x de jà|-^ii)Ot ue suèietp.

l,‘£/h^roM/n0 de C 'Ü iiliJtin t eau snuycraino avec l.i> qilfUft ont- péiil eiilevcr sokiiérue et iiisiant uir-inéiif loolc ÇSiiècir’dc tache su r les éiolTes, les gravures ut lus piipicr,) '^Mcieiix, n'étésiifuiH! ÂstHippparitiiui cqiiiine.iitio^es |dti«

.îrtr

Il iipparitiiHi cqiinne.iitio des plpu itiius décoTi'ieélus de répoquc p a r les persoiihcÿ soigueiMu-

•” i! p^r !t< W iidlls cl li}S cijÇipçtiîi^’et.t&vohoincs aussi tiiun qitu p^r

iiétil-K I d m l i i i bi d 'ao lo^raphcs. Elle a râ fé iitü g a Kur les co m p o sd lo jiS f'cK ^ fioor le 'ntënpt 'u ttgu de njr.>

laisser ntiruiic de Irace nwiwaisé ddçpr.** '

l.’illùsh-f Itevuc I

CJbiirricr 1................ — — .........}, — Saluii de ÿ ^ lÿ .« ~ ^ X h r u n i^ ‘ litté ra ire .

Ilistoire du C uiisujalet a e l ^ n t p i r u . f d ( r 8 d^ InRoL-liultc. ' * ’* ■ ' Tùiits. — N;>uveaiix

.UHirormes au l arriiue.sinssci — j;a tiaison A Bad»^ — Ca* z e lto d u palai». ^ E c o le t!c 'W |f tn ji i« d é îî^ f i .‘~ ^ lo i i8lguor

(le

irp-'A frivée dés caiix du Stiighoiicfi A yùii .ÙHiformes du rarriiée.siiissci — j;a S a jso i,. . , z e lto d u palai». ^ E c o l e ’t!c'Wiftnju«;du îîfcf4.‘—'Fraiiucscu i.ivoraiii. — (jduvehiüif'dé foriiiiiu.' G m m res / ’Séanco'du ConSrfci'îiltlstlqifcd’Âriiui^^iS’ ) gépéi'ale d d cudiji de idiAlAfut. i; 'fitnpuréu r'dé r.6 ra tir ca ïd au cam p. •^ 'Saloii do ISBI fqiïrtlfc g ra v u re» ).'~ T ô lcs du la Itbtiiellu : concert doiiti'ô dans ta sallu do spectacle.

Jailllssenieul des eaust du Zogliiuieii A 't'u n is . — Nou>. • - • ^o iis ig u o rveaux liiiirornies .sulsil'cs (chiq uravurc»), — Afonsignor

Fraiiceico-LlvuniAf.-^-^ OWvbriiil!! dé .funodè'. ^ Elchee». W n.'iHis. - • y •

nIxirrie».. ^ - V

llfsut po iirlan l, d ild f. quo'.tu travail su fasse; 'S îràltelâV ràoh Aiiél-I} est ■philiVJô V't^ücHr,'B wlh ÏHhVhiob ftue.h*?! I c tta rru e .......... j-i'tij, fitd'M diù il l-allfllu; au • .gji», dom pté p.ir W o u e l , i l lui ta n t «ibéir.

te prem ier siiluu la force J ’abaudom ie,

" " î A i m i j k C é s ' J ü d î d a i i ^ ^ ^ ^

B 'R .àÜ jyrf l .A E i '1 'A X 'f f 'l .E .-P A l.lH .i r . : - }1 A K B a V A B y g . * yA W <H -*—H''tEÏS

0/4ErBETM

(Validdu* dàii^ i q m ppw jq |^ iO e j.

.b ^ H H a V A ^ . Aâ ï U n i B S 1 9 2 S . B £ e A S T S .B s v â s a x>s% s A XL v a•nix UM tUACKX

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»T.yTIQX8 i . ‘i; 1 1. 2 ;3 . c l .1 3 c il.lS - ci

H.STATIONS 1 '*2.1 I. Si Station^.fit* Pa H«(«u5- cl. 3- clI (o ir

5 50 5 ÇJ 7 50 0 5) Villcc,.C.>tlPari* .-ucp. |.« Uour Sev/f»UiiryDmuui'CIidpi«.u-b.="Nauti-ujUi*. Ot'inà;

Vjtiimot Viilcrt^Cblti

tibl»K O'J lU2 25 1 »ÿ8 21 10 21

nitryDjmmarl l.e Plv.i»i»DvUevin( NüHtiHiii-le'llaiKluii Ormo)Ifëpy '

nrm»yNaiiteuii'Mi 7 57

2 05 2 15 Plruii-Bà**» 123 12S 12 '3 60 2 .63 ; 20 7 3fi7 538 08 10 03 8 23.10 2

8 25 10 au 12 20o , 111.1 7J. 11. ri.1noaiiiar liii8 41 10 36 12 36! 2 368 53 10 .33 i'2 53| 2 536 1311 08 1 01 3 030 30!|1 23- I 2 3 . -----

I2 '400 S' 4510 00 liuiirusl10 22

A r t : i^ i d i »

‘ ' î f t

P arisu tkdê.

11osg6yd*5Wîrircô1inr1à'>iic de aournay, d'un ' imut h.PeodiwiH Br unet«-iOt-d*4utfe bout le

e iemin cohamsatn-h Créii.Ar«iele ^ l a t i t u e . >

le i^ u r n eu f hectare» iiH i / ’uii côté h

Ü e iA l^ r .p b r jfuiclic h M. de là

IR P ^ D E I^ E R M EA p p e lé l ^ c p i n p d e G o n r n a y ^

|ïEc3[^.4ikwiiiSVâl|6kL'iff ofckâoVicÉs.

F k B 0 1 S , F I t i C H E A C i M I Ê S Î ,Iæ n jiu ^s itu é i JrttfNtX'fAiisE, canton de CruH

‘. r (ô isf), .) ‘ K n R iH ë it tr s s Bjo Iü

(ili» ‘nouPro>il fire r f i in i i p a riie llm én t''! ' ■ ■ où rh /o ld /ifé , .

En lin id lenee d e s criéi*8''du T ribunal civil SéblU Cl p arÿ ley an t M., l.\vnKRT:,

L ’a d |i id ic a lio n a u r a H ou l e M a rd i t i i i o t - u p À tre S e p te m o rk I B O j , h c i |f o • û ç

p ré c is .

On {fait sav'qli^à'loils, flû’il ap p a ille éd ra , qu’un d’un ju g em en t re n d u sn r re -quôtelpAr le T rihprtal.’d v l l é ty p r^ m è re in- siaticel séant h Séiiii» (O ise ', le treize août I8 d t j onregislMr; dénhuéé'td 'M % dih)h tfé au bureau de^.>yp.qtfi/lqi|ieS idef^9)>^^h

-^de la/transc rip tion d e là fu isieiopéfée-le pro- ^m isr’m a i-4 8 ü l, vol. 4 0 , i r 4 4 ,

lAfi'nlreiwiv 'In l iè r c , I » furgus du M m ialairc cl autres, d ’au tre côté à M. P a r g in t . p ar hache le deuxièm e lôl, dhin bout au jrld e au , c l d’antre bout Hanse cl a u iic i.

.1 ; c. : , .U ne pièce de terre du lu èoniciiance du six

hsc tarcs tr«n te-sep l arcs viiià i-tro is cunliaies. ipéroc terroir^ lieu-d il la Juæ ieu. tenant d un côté Mârliii!com'm‘eTérriiii-r ikî Hiei (Im -ouçoIs), d ’un bout lliu o l, et d’a^ trc |l)o u t le cUeiiiiu du Mclio ‘ /

A r t l e l e o ie .Une pièce du t i 'r rc ; bu' ime terro ir, lieu

d it la Kossèlju ou l'pssçliii.’ c luteu-.inl (|iialre- \ùngl-deus are», cinq .eeiilia es, tuiiaiit d ’un cô té à M. I.aiiruut; de Mosy e t p.nr hache à M. Parguéz, d ’on iioul. i r f i , C ro ii/c t, e t d’au - irè boül lechiMU'm «liç.Hokstfoy.

A tr« tc l« .â i:A |4 a* e .Ijuc pièce, slotéréuJoilaiCduîenanrci^^^ un

lieclare iionf ares so isonte-qualorzo centiurc», lièo dit lc8 TaO re8;'tèlifartnViin cô té h M. Ju l- Hyn. d’ijjU UqulileSrWyjiiÇf^b d ’au treüoiit | l . bâtisse,<d&>Wéc^'. , I

J Ü uc pièqe; d é :! té « a ' d o 'l a ^ devinci'iiu iiire ares env iron , licju dit la Justiée

• o d % w ^ h t fe 'P a V ÿ le z , ten u îi d ’un côté M. Ceouiei.-^ile Pottiit-'d’mUiw cô lé Si M. Isidore fk u r ié t ix , d ’uniliout le chciniR du rË g lise.

côté au ciiem in. d 'an tre cô té h.4|. Félix Cfi-ison e t U M. C unstanlin O risoii, d u ^ lo g e n i . .

1 1 ^ 3 3 3 AOiiiro les Qhargus^ daases. pVcojUilitiqns in ­

sérées au cahier des ç h îrg e s , ie s j in n ie iib le s ' sus-désignés seront criés su r Ics inises h p rix ' su ivantes ;P our l’article p rem ier, la isommc de dix mille

fn lncs .c i . • . • • lO.OÔOlr.Pour rilriicle 2*,'cfiUe d e . • . . 0',10i’our l’article 5f; celle do> . . . 2 1 , 0 0 0 ’INiur l’!irlii:h*|4*>,C®ii® dô • . 10,001);Pour l’articlu S*’;'éell& ,^e . . . l . lO t ;Pour l’a?iicJê 6*, coH* de . . .i*our l’iu l clu'7*, celle.<le . . . 55ÔPour l’article 8f,.cullu_dè . . . 0 00P o iirJ ’arlicle 0*, celle d e . . . 5 : 0Pour Particle 1(P, cello de . . . 160Pour rarliclu i f , cellc 'du . . . 2 .5 0 0Pour l’ariiulu 12*, cello-de . . . 5i)0P our l’a r tiile 15”, çidle tic . .• . 800Et pou;-i’ariiu}e14''etdcrnier,ceHcde OOP

au Palais de justice de ladite ville, rue IS'euve- de-P aris, ou le cahier des charijes esi i:/éj)p«i!.‘

A r t . s . .Èturto du M O ulks TIIEMUY, avoué à SuiiUs,

n ie d u Chôlcr, j i” 21.

V K i \ ’ ï K S U B I J O I T A T I O Î S. K StllF. .M.lJlEimS.

E n J'élude cl p a r le uiinislère de BuntN. ''fofüirr "/*rifry-s»r-OMe, commis à cet effet.

E n prcscriot: de M” H ^ÿikuk, «o faôc , ‘.d Creil-sur- Oi/iP,

-a i» raqnétê, poursn lte et diligcncè■ jlft U -X o ttU -L au M iiM u ean ie r, dem euran t h

Senlis lÔi?C)».., , \ ,• iIw n^iiilèM n’avaiil pour avohé M* l-rcmy,

" '"jil[e'niR'N ,>iivA.divPnrl». n*15:deinétSraniàSéiili8,'niePJeilve*dè;Pari8, h®15;En pré8j*ncc dû Charlds-^’bêl Aércl,

fils, cultivateur, dem ciir.inï'b’ MdmaiViic:'7 2* J tn d v n a Ad|l;iïdc: U dn é -Jffin < cfA d |l;iïd c '7 p râ t^

dÿneiiirajm \(|'|u ;M pl h Atéhlp':;

Ü nc pièce o c te rre du la contenance de quaranto-qûatre à rê s ' q u a ra iilé -q u a lie ce n - lisffift, lléndli45Avgl«ièiô4>t«AûiJrà deux Voiua, tenan t cl’uni c ô lc .a u x héritie rs de Hicnville,d ’a n tre côléiThéddpfe Goiiletlo el lliiyot. d ’nn bout U . /çan-K iauçoi» M eniiessier, et d ’au tre

* T n e pîfecB'do ^el-Æ 'de^ lu coiiténànce de Q vÏB ürû re iiqnaran to -dcux cc u lia rcs ,J ieu dit ■'i6à% aript'niies, tefianl d ’un cô'.é au riduau,

a ç .m w f( lp ;i’»o:4iOBl M 'garenne de Goiiruay, cl d au tre bout A ’>toatbtoxâ‘teiHr<£liubl‘i'i G odard.

-V i '■ • Ulfé'-Vièco do terrc ,'in ô m e terro ir, lien d it le GHi-min d e W dlo; dhiite contenance dè dix a r ^ i \ M r C M h léùjinl M’un côté àUaiise, ü fau trie .cû lé .an c h u m in ,îd iin bout a la veuvo’Thuillièr,- île N ogent, c i 'd ’ad lrc bout u M .jCreuzel, jlo Mduy;

.1 ’ '- U nopièco :ilt ;pnStilC'ila *oiiln ianoodi) un

hectare ire iile - lro is ares quaraiile-ncur, c e n .

- • ' A.Jil. Gage, d’unbout lus r e -

ja d jin ajr f lB j ij ta |f e , id t -,. . - .. . -i«ûre et acîuellbiucnt h F 3ri^i|uç ll^ 'iu trpdlis ,,i^ n* 0 . épouse séparée de-C0^p*^ é i O i^^hiphq^q'M. A nlo ine-Ju lM B ûrbier:4 ié«gcm ^^ r a a i ; i î l l « 0 1 S i t e a ï i S J l o ! » i S l ! ' i 'Î5 Î

5* El ledit-sieur Harbiei:! I i l té î : J W - ï i . .clvaN dité;

hi'cOéfandeuPSf^avnnigiMriavoné Ghonnin^] Procédé^ le a a r d i wHÿt-qimfr^

j i r é é k en l^m iienco des criées dit’T tihhnaj èiyil. dw ttro ^ il^^pidis, h j à Vonié'.i't: àjjudicàtio 'u dos iinv

. iRüuhlo» doift la désignâlioii su it ^

■ " " l i T . -

Un co rps 'do 'F c rine appelé Ferme de G our- naj/4 ave» «ç»’ d r e a t t s in c e s c l .dmwntaiKes., situé W îa ^ w m lh ù n tf i^ M o fita la îr tr ^ ^ d e bôtiii il droite

- ments d’tfBfdiiftliobMdltiht db gigorics, écuries, i ^ a to s ^ c l tfofl^;van l CR Çacq d f '% M n v c n t fh |b ila rp m qiL relou;- dA a p t4 w m p w le do m cD ucv■cofonibiér e t pu its dans lailile .-covrt grqmlo ■cour, e n tre ces bàtimcn^ù^ son cntréu

\ ÿ î r i i îr t f ''p o f lc '‘c1ïarre{ifcrc; ja rd in , p ÿ a ® ‘r et {. lEagréiiieiii derrière les b&timents d ’hah ita- 1 lio n ; verger Xlurrlôrc le i '^ M n g cs çt an tres M S « f c h t f 8 ‘& p l « i l b k , ' -r 1,0 ip u i contenant environ en superficie un

lieclàrè'éoixoftfeéintiflfe», cids dè’ m iir t, halos é l féSfldèi Iciiàilf d ’iib côté \i- M: lu bj^roti du (londé. îHliütrd Bôtô h la t é e , au carréfoiirjei 'tdi chcmh) qôdtWisaiil h Creii, d ’uA b o ù l'd o - «km l'h la-Vuéi’ot d ’au tre boiA ù H . le baron d è Cbiiilé. * '

-’Ü A rticlet l n o pièccT do pr5 , te rro ir de M onlataire,

lieu d h -w n n ra y . d ’tm é conicnancn tle tren tc - liuit dfus un ounliàrc , Sicnartl iPtin cô té âu

Total des m ises h prix , eiuquan'tu e t un mille six ceü'l francs, ci. Sl.COOfr.

fi'adrcsHr pour atxp'r.rfrs rçuseû/HeinenU ;P A M* E R É ilY , OBOtté, p o n ra im -a n t/û

v«i/e ; ' • \ ■2- À M*CI1ALMIN, aeoué A S e n lis , p ré-

senl a la ventes .S* E t au G reffe du Tribunal civil de Senlis.

où le cahier (fe charges est déjposé.

Fait et rédigé par l’qyoué soussigné.A Senlis, le sis septem bre 1861.

P our .M” F n ^ sy , oèsen/.- Sigité'^k'^RtRL-t.iON

Eiii-egistré à Senlis, le six sep tem bre 186I.V P f 0 5 , v», c ’ 2 ; reçu un fian c d ix centim es, déciuiu cumpi'iS(

S i^lié : .CuÉGOinE. , Pour iuscTiîqn ; . . . ;

. . - S igné : F uémV^

■ . U ttû idèûA ito to rred iv lù contenance d ’en-,

licmiUt t»kVf)iriu du Moulin, tenan t d 'un cô.éÜ aulsaux fiV W l r t» ,4 ’auU-c,,c«üé..au

fossétd 'égnûl, d ’un bout It M. le baron dC; .Çqndéi d^IUt^c bout h la riv ière. >

ArtIHO > lrc lsièm «.:Un -licciore environ de (riches cl carrière,!

Sflué 9U luôtne .lcrçoir, restan t do la partie ..v.qniUip'h M . Te d « Gondé, tenant d un •' cAlé 11 ce ilcn iicr, d ’aq trc côté è M .Juseph i l^ sq u c lle et au iré s^ d 'u ii bout à M. lu baron .“dp Condé, et d ’au tru Imiit a SI. T isserand .

AH>el« nt «Iprnirr.

Une pièce de te rré ,do la coniciiance de cinquante-quatre ares six ci-ntiaruH, mémo lcrrolT. au Hcn dit lWI-d^^sllS de la tiare ih ie

i'do M. PargucX bu l’Arjiecfi c u n é , ('enniii d 't

' Ar t . 2 .' ‘ "■• Elude de M’ Jwt'éaTHEMRY. avoiiè à «éiili»,

• r u e d i i ‘Gliiltol,‘n” 2 l .

SUR éAISIE .IliHOOILIEUR,A l’audiencu des criées du T ribunal civil de

Senlisj séan t au P ûluis-du 'Justicu de ladite \i11U,-fue Neuve-dc-Viirls,

...............................'•'AVEC ' ■ 'C0U fi,B A TI8EH Tfr& U B B lB CLOS^BEEDBS

R5«J)àPSRP,INT,Sise SI SAiKT*l.çu-iv’EssER.:rtT (Oise),

ch la ru e d.qs Foig'iS; .

D’DIIE 1P Ù £ i m wAnasl n y c c Çisuri lijAdnMOtp e t «JfffHlln

cl«i» dé|>eai^ial» .E galcm enlsiiuéeji SÀiNT-I.Eii-D’EssEREnT>

on la rtip des Forges;

- y iM |T “ W

Sises au terro ir dud it SAiNt-LEU i»’EssEiiF.îiT;r . n a i iM iirii.', ,

Q ui pourront ilre réiMis>pàrlicJlin^nt -• pu «» . r *\ '.

L 'a d ju d ic a t io n a u ra " l ie u Iç’ U i m l i d t* S b i iU m lh v <g t i l , SteBia»<dO’ln id i .

S ’a i im n r po u r a m r d a re n ^ ig u îJ ifU » : ■ /" .-1 M* Jul.ES TllEMItVx-'dooiia! ÎJeflicii-

ivml à A'en/wj, r m du G h it t i , n* ï / .p )o » iv •wicfliil* la B cn f ;

“S ‘ A M» IIIJDiN. notaire à Précy-sur-OUe; 5* A M *niV IÈ R E , notaire d Creil;4* A M 'IIblM ET. huissier'à Cbauiilly; ô* E t a n G reffe du rr i5 iin a / cinV de Seidis,

A L . O U Ë R

M M S O N a v e c J A R M N.%ppnrt0 m«n<s f ra irh e tn c n t d é c o r^ ,

A SENLIS, ru e du'Carrefoth* im h t- R ic id ( en fiicc les prom enadua c llea -h u illn du for.

S ’adresser à M. A i.LaIn, ri(é 'S ({ù il-Jean , 6 , à Sehlis '. . '

U K 4■Sisps a i f l ç r M r dé;i’ l î e d ï- i^ ^ -0 (« t : ,

’ B-;n 4 *Qui pburrnnl liire réuni* porlicUemoiii vu en

loUtWe..L’a t l ju d ic a lio n n m ‘ü l ie u l( î /) i« in H c //c i 't itÿ l

n e u f S e p te m b re 1 8 6 1 . h e u ro d e n ti il i .

.S’fld rm e r p o u r les renseignements :/ • vI M” TIIEM UY, fluoiié’, dem eiironl d

■Senlis, rue d u CluUel, n* 2 / , poursuipaul la vente;

2* AjM* FUÉMY, «comî aud it 'Sen lis, rue JVeuve-de-Patis,' prée?nt o lu ^ n l e ;

3* À .M* U lV iÉ R E .no/aireô Creil-sur-O ife; 4" E t à M* BÜDIN, no taire d P réc y-su t-

Oise. dépositaire de* litr.*s de p roprié té et du cahier de» charges.

J O £ , 1 E P É T I T Ë

W S 9!) B i t m i a n ESiuiéuh S enlis, rueauX 'B crgèrw ',lH *l|,

Pourentrercn joiitMancede !•''octobre prochain. ^ S’adresser;» M r l jç q ^ T , iprnt^iéiaDt.

A r t . 4 .Elude do M 'J . 0 0 1 )1 ^ evoué à Seuils.

îÙ'î5»AB.%TIOir IÜ3Î niKXç^.

Suivant j'ugcrpçnt rc n d h -p .ir’ lu Xribunql civil de, pçcinieru instance. yianl.à-Suiilis (Oise), lu vingl-sppl ao.ùi mil hiiii^çenl soixanlu ut un . ^>urcuistru'. . . i ■ ,

‘ La dàme Louise-Vic-loiru-Cai-oline M.\NÇtEii. cpopse ,<ln çleiir Louiit-Frédérîc Giie v a l ie r .. garçon, re ilau ra léu r , dom euranl ci^duy.int à P a n s , n ie du la C ité , n ” 5 6 . ensuite à \ ille rs ; Sain l-G enesl, n 'ayaul auiuullunienl aucun doa- micile ni rélidenco connus lad ite ; dam e rési­dant h Senlis.

A été déclaréo '^ép-àrée qu an t aux liions, d 'avec le sieu r CtiEVALiF.n. sn:i m ari.

l*oiir ex tra it à'iifséfci- :’ - S ig n é : Jî'G O D IN .

A r t - 5 . • • •Etude du M* J . b Opl.N, a triné ù SenlI.s.

8 Ûi*.%ll.tTkOtV DK BIKIVS.

Siiivanl jugem ent rendu p a r lu T ribunal civil de prem ière instance séant à $entiy(Oisc), le vingt-sep t août mil liiiil cen t soixante u n , eu rog istré .

La dam e Louise Ç aro lino-E sthcr G oupfë. épouse du sieu r Loiiis-Jule» D,itD0| 9 , uiar- chaud boncllcr-charcnticr, avec luqii.çl ello dem eure à Lainorlayu. canton d e Crcil,

A é té déelaréo ‘séparée quan t nux Idens d ’avec le sicqrT Ü B plé , éftn m an .

. P our ex tra it « Insérer : ■, . S igné rd iilu s GddIî î .

j ^ l M i a u c e s M i v c r s c s .

UNE F E C ü LEFUEAyant p o u r m o t^n ra « n r N n eh ln r n

vapm ir e t n n r R oue kjfitrUi^âqiie,Située il Senlis. faubourg d e là IMgiië.'

.S'adresser ù M • Cli. PcisatASt, eiKrèprcnctir à .S’flidû, \

A v je ;3 ! s > i

ü N BK T x i n i i ; q j » | R K n E A t J

.S’adroKsoi- à M. MXsson , réglssdlir au cjià- teaii de Ikiron'. ...

m m % mm% mj1' Sujdis. plÀco Notre-Damo,

A T J Ë Î V I ^ R K/rilÇr?l\i»diu#)ion ?.

I.c Diiûauclù; 1.5 Supiûm bru 4801 . il m idi.Par.lfjjiinislèiicdo. Uv U rnoistuI GuiTKitS.MXT-

On e n tre ra en jou issance devtiifc;^

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Par le m in isièrè 'dis'W Lu Dimÿiichc 15 Séptci

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IS irU Dimanche 4S S é p tm b r e 486 l i à une heure.

A Uiilly, en li .m a ison d ’ccojc,Prfi- h m M s th c de SI* Rexoisi-, notaire à Scnlh ,

'■ Kh présence de M' Granoxangs, nofah'c à Compiégnr: j

Il v a tonte siirulô pôtil' acqiiéi-M ’ ' . . S 'd i r e s s e r à u m fs W ’

Û M iM ipe ^ 9 A t* « s 9 R C o tiik

D E T E R R f eAu lcrrDti‘;dlJÔ.oÊcs), '

■■■. ' v î ^

A m r e s \ ftt.la 'inatson commune.Le ninImcHe 2 ï 'S a lw lii lJ rê , l« S f , ii'Vhe'iiïi-. Par la m inisférê d<r M'tfhwOiST, «Wairea Sunhs.

<'.;i ciiti-fh'tnm Jtp tt^ n u â de suite. , 't'adrM |^r jnolatré.

Pâr n

è b l j ^ ï l i c l i r e »

Page 4: H O D iam DËPARTElEHTiLES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1861_09_07_MRC.pdf · Ç'ographie. par la manière intelligente dont elles ont récité 'dialogues et pièces

M sli

IiSii

î -

A i i ia td i tr ÿ e â i t fa \* D lh h k i :i l

ü n ïÜ M A IS O NAvec JARDIN , sise li K liiirouri,

30 PIÈGES DE TERRE,y i O H E e t B O I S I

Sur !klôrieiival. Fresnoy-la-Rivièrc o| Ifillocourl.*

C«airM«n< S IleeiarM M Arra.Jouissance du su ite .

- GraMdcsfacilUés pour le paicmunl du prijt.& adresser pour loutréH teignenieHsà M 'T assart.

NâMajtuDR. •

A V E i l D n EPAR AtMUbicATION VOLÔ.NTAIRR,

• ' "’É'H jfosie i l en Détail.. V • Af :Gillaeo«fi. en la sqUa d ’école,

H w te r^tniateni de M* TASSA|T;'aô/oi; e à CrèpiJ,'- Le O im anrhe 6 O c lo h r \- l8 6 ! ; à une heure,

S ur l e s im iio i r c s (fëG illocoun et Orroiiy, de 8 H e e ta i ^ 7 9 A re» M Cent.

K n onze pièces. ■ l*o«r e n tre r en jouissance lotil de su ite ,

Facililj'.s pour lu luilftiieiil. Syd resser , pour tous renseigneincnft.audil

SI' T assa rt, notaire.

A VEiX’D R EPAR AOhiOlCATION VOLO.XTAIRE,

, K* *T FA BKT%II..An l elnde et par le ministère de M' T assa rt,

notaire à Vrèpy. t n présence de M* tin\xtniAACE. notaire

à Cotnpicgnc,]Le D im auflie 29 Septem hre 1861, à midi

DR fflÂRCHË DE TERRESitué sur le territo ire de Lçvigneu, canton

de Ueiz.d e 1 1 h e c ' t n r c f t Arc«« O*^ « e u t .

fit*, ving t-hu it piVm.• « Grande» facilités.pour payer.

■ S ’adresser au td itsM '' T a ssa rtc / Gramwako*.

E lude de M'BIGOT, notaire Hiil*ieAsis>fielle\l le

8 H e c t a r e » i l A r e » 3 8 C e n t .

U l i : T E U K ESis au lerro ir do Lagny-le-Sec ,

A V J D Ï A 'D R E p a r A i ^ u d i c a t i o n ,Kit Alassê 011 en D ciaii,

A f.agny-le-Sec , en la m aison d'école Le Dinianrlie 6 Ocioitre 1801 , li une heure,

Par le minislère de M* B ioot, noteifrc au ■ Plessis-Belleville,

Jouissance do su ite . Facilités poiirde paiem ent. A adresser audit M' Bicot, notaire.

E lude deM* MAITUE.DÉVALLü.^.iiolaire. . . V;. , à Oham bly (Oise).

G n.A W U R

H iaO K BODBSEOKEbiliiee a C haitibl;^;'rüc'dc Gisurs,- ■

■ • y 5 a S > y . a a a a â a '•. . f * ;,*■*» AjiJUDtCÀirU.'» VOLp.RmflS, .,. .

t n l i .u d e e t par te m i^ s tè ré N a itrk *■ wv notaire a Ckambhj,Le D im anche 15 îîepienihre 1801, à midi.

Jouii^ancc tout de suite .• ‘ FiiciJité.spnurle-paiem enl.

On tra ite ra avant l’adjudication s ’il e.st fait de.s on rcssunisanlcs.

S adresser audit il* .MAirRCdiEVALLO . «oteiVe.

A V E N D R El*«r adjudicalion volontaire.

K m S ir M e t r a K M a ll,4 ÉwtériVte, c a n tm d e C r ip g . en la sa lle d é c o te , .L ejD im an c lié ^J Sepleinlire lOOl, à midi P a rte wtn^^Cdc.M'.TASSART, «ote ireà Crcpi/,

tH p r è s e n e e d e W* Grardjiajigb, «otoire ■ d rompiêÿfic,

» 5 H E C T A n l é S S S A B E S

W , JU D U ET r a t. . Rh 99: :

Sduée» su r terriioirés d ’Eméville, Ve*. Iton- iienil et llara inon t. :

. • G randes .fm;ililéB.ponr le paiement.• s . a d r w c r o M jd i t e M“ G ra sd u a n g e et T a s s a r t .

Elude de M* U IV IE R E ^nolairc CrcU(Oisu).

» H e c ia n M 9 3 A r e s 3 1 C e n ( .

DE T E R R E ET P R ESitués terro ir de VerneuiUsiir*Oise,

A. fAR.AtUUUlCAmRVOLOjrrAIRE, •

L e f tm a n o h e l5 S pp lcm hre 1801. à2 h p u rc * , e « t’é lu d e e t p a r la r iim te te re du il* R iv iè re ,

nolair.e à C rc il,«. . de su ite ,« adresser audit M* RiVièré, notaire.

E tude de .M* E. L.ACUUR. notaire A Nanleuil* le<Hoiidoiiin (Oise).

Pour cause de cessation do Commerce,, ' A A ' * n t n i i l - t e > H A u 4 a u i t i ,

L u ratdtergc du C o q c i i a n t a m , a iw rue des A uvents, H* 21,

Le Diioant'lie 8 S e|iiem hie 1861, a midi, et jo u rs suivants.

PiU' le luinistère de il* I.acovr, nolaireà Nanteuil.

Les objets ’u vcm lre consistent en : garn i­tu res de foyer, batterie «le cu isine, vaisselle, verrerie , houieilles, m culties, literie, com ptoir, cuisinière, fourneau , poids, pendule, glace.s. liroiidiie i>| ou tils de jardinage^'' ei quaniité d a'uires objets dont le détail aura litfu au m o- n ie n i 'd e la venli*.

LËluilo doBKiNOlST, fïolaireà'SeiiUs, est transférée ru e R ougeinaille .

D E U A - M O I ÜP O B L ï ï E t t - P V S Ê M S ' r E .

A H K Ü liL III) r w e i i * i 9 ,y*-- Près la itnile,

A't iHMiiienrde vous donner avisji|u’ll a fut dé h S en lis,^ ^ Béat connudep iiislro isausco tum e bon.onvricr, un éialilisseinent ayant pour ob ­je t te.cun.striiction lies calorifères contenant des apparü ils .'irès-éconoin iques. de loiitês sortes de dim ensions, e t II consiriiii les fé iif - ' neanx en fmm genres.

'I l fait ^ a te iu e n i les lr.ivanx et les réparjw értipécher rintroiluction

deln.ftiinoe.dap^ lesa |iparteinen ls.veoio-<le. tonlcs' les fourn i-

i w t * â^iiffiùiircs pour les constriictiéns ne«.pour les réparaiioQs^ -.

châssis■ ridfSUv él-laïeoce p o u r devantures de che- tninéei^fle fautes d im ensions. •

> te id u l à (tel p ria; frte-niodérte.

A U N O U V E A U J U 1F - E R R À i ! V T i rutui

■t.

M . A Î i 3 H A . ï n 5 a - D B ; W 0 T 7 a i A . t f T a 3 B ' î ' ' a ÿ w * a 3 é i i s - , 1 1 . ” " f ‘I»* < ; * ' a e ir M J r m ," - .

. . î i . '••«•lanii'*qiiVlle» joiMl ii «on conimoiTO */*» ! ,» l o j s ^ h T i , . m . M u t h r ^ i alsérifii» , C oricis l) r a te » ré » - ! iT lo lo S S il uni! soliililé (!iir.inlie, îi p a r tir 4o 13 fr. i| 18 f r . ; C ursi'ls liriiii-Causn Én'iiiiA. .E ra fa n ii |i ic il B l'i S f r . iC n rM lf bonsns, d epu is S fr , liisBii’ii | â f r . ; ( iô iM Is^n n in if”* çpu lu res, depuis S f r . jilà ju ’irO f i- .S O c . ' . en riu l,^ .,

' ' , ' S x im u l mm i UUm JUM » :1

A laison JA D O U IIV Jeune. pro« prié(ai|.e A Candenac (Alédoc),

O é f t ô t à S E I V V I S ( O û m J ,Cimmlm fsMjÎMlpfore. » • a » .

S’adresser b SI VKRRIKn n t s . représen- taiil cliDrpc de lii peslinii du dé|i(ll.

E lude de M'HÉHOÜAH'i’. Iiuissiér à Sauleuil-

V K . V T EKS VrUTU U’eSE obdosnauce ,

t m i O B É S t VtPEEE(Système ('.alla, force de o chevaus,

systèm e V arlet. force de 6 elievauv)

& DE DEUX B A TTEU iSESLe le u d rrd i / 5 Septembre 1861. à 4 heures, >

S u r la place du Marché de .Nariciid (Oise), P arletn in isicrede M 'IIk rouart, hufdrjicr*pWrc(fr

ô iVanfem/./c//fludwuirt.Ces macliinvs son t en parfait étal et fonc-

iiünncrouLle jo u r de la \e n ic .Les loconiobiles pourront è;re vendues

avec ou sans les bailcuscs.

D E S C H I E H S .w ■ .-La r« » ( i4 r« d e V w ir in les guérit

e t p rcserve de m aladies. 1 fr. le paquet avec r in s ii ncllon .— r v u i t u a d e d e «’u i r i n gué­rissan t en Ajueiques jo in s boutons, gale cl tou­tes o spèc t»dc dartres. Le pbi : 1 fr. 2 5 t t . __F our i’i'Npédilion et fe d c ia d . h la p h u m ac ie

.n ie de Foiiôu-. l ^ îwl’à r is — Dépôt h Sentis chez .M.'- LA^Avire arquebusier

E T H E B Q T iR U m D E C H A e I ^^ I I I ( > , » ) Ë T A C H Ë I t .

uiéitppsteBmiteC ‘ lle nouvelle t«Fll«9 d« 3«Ib

J d T s is f a^ ***** ** * «w ip m » C aM rM W N # 3 9 M ^ 0 f Si» , - ,

f . r w t t DU f LACOït : I fRANC 50 OERTIMSI*. :rom;<o«t* O R A ^ m , d iim iste . — Fabrique à Rouen, rue dé VltAnilat. 38 e/ 4(1

P H tL IB S l^ co iire iir-p a rfm n eu l', p law d e la .l/à |le , 35;

O < ^ o « « 'cr (e l » M in p a r a M e poir*M Vtir<w*' ; > I5 À Ü T Ü X I ^ H J i

PÂRiCHDTE DES CHEVEDÎJbRfc.A’iB I A L V I lA , C h i m l M t e .

CrlieV»n.|><)ii(lon e«l in«iiillilile poitr-irr^is-r niomii-■ r ineiit.l»eK uied<«çS«veu\ s r lle e n em|.è-'ht. la

^tnrntion: n e n n ic ftO f iii tm A tl le cuii e litv e iu , i t é ln i lt*’ " i^ i i r e t g tm u eà :* * « p i t l i t a ' r t lita iic liù iret ; apj f>rvprirtct .régeneiialiiret Jm -o n iin l t<t iv p ro it'id io n •le 'lou veitiir^ ie.^ uT , I i i ia il rjiai.Mr e l l e pcnil «im- |»lc> e i. i i r i lb n u , t l <.in|>ci'lie le tilaudlnm cnt; u,«à!i..■ " , — «tu Flacon, J fr.

<ifcrr^«en,n„m .ni rue de l'Hô(iili«1, <0 D tp U• Uiuir» I r , v ille , il.* Frtm-e ; — a Hrauvatv, • Itt'i

B . I.ar.f’t e i , rue.Saint-SiuvH ir i — *t a Sr-nl>«, rlii-i **-^^Klll*»*îrl,eo«^«i'-jirti^i.rMeur, Place de ta ll ille ,

P O M IIA D E T D E S € H A f K l l I N j g0 0 L’H IO liN É im AOTEN-AèË

•<r uonnc un D n iiaa i, de la «onnlette.•e par^GHAMIlM, cliinliile.|tarrMnieur. a Rouen, rue <]cT(jd|'>ru” 's V f

P M X D U P O T , p . t t 3 J r . S o c . .Dépôt h S e n lù , chez M; P à tu B E R t, co iireu r-pa rfiim riir , place de la Halte 35

■ a^gMMPtia, chez M. l:AifGLP.T, n ie S a in t-S a u v eu r. ’

E lududcM 'IlËM ET.huissjür-priscurâG hiinliliy

^ 3ïI t ï3

V- , Mêm e é lu de.

À ^ O y E f t i & m i u l i c a l i q M ,

u m u B i i m s s i s ES iie com m une d ’A prem out, prè.Â'Croil,

a v e c l e s T E R R E SJS«

d’une ccHiienanrc de *® 3 0 A res 7 9 C«m<,^ D im aneh(i22 Septem bre 1861. h 2 heures r w l e mÙNffère de M* Rivière , Notaire à Creil

et en son étudc, 'JcèiiKssiiice de suite.

& adresser audit M* Rivière, wo/a/r«.

A V E A D R El ’o n r en tre r en jouissance de siiitei

U i \ B o m F O ü V D S

SE R R U filD R iÉ G A mB x p lo il i A Creil. rue dit Fanb m n de N egent.

Ce fonds com prrad rA chabnd .ioe , I ,., O io lils cl U slrn si|es . une Sbcliiuc b «iincur cl tou t!» les M archandises. '

P " " ' " s ’assu rer d 'u n Bail do 1 8 a^s desdiis lieux.

^ u n d e s fsc ilifis pniir le psicmcnr du p ris

Ans Enclières publliju.!s cl après décès,A t P r é e j - H u r 0 1 « e .

E n la maisoit de feu M. TAiinu père,.Les Dimanche 8 et Lundi 9 Septem bre 186J,

h midi précis,• P ar le m inistère dudit M* IIènkt.

C elte venfe consisteia j>rincipalemenl eu : b a iten e de cu is in e . garuiiur«-s de foyer, ser­vie»*» de tab les, am eulilcineuis de sallô à m an­g er . salon et cham bres à coucher, literie, pen­dules. glaces, b illa rd , p ressoir, cuves, lo r - ucaux , arlm stès. 2 hihliothèqiirs, un.* giam e quan iilé de livres, iiisils, pisiol. I s ferrailb- bo is, ustensiles de pèche, cabrioh t. lache, gen isse. Vin?, b ière , cidre, foin, luzerne. E nfin un très-grande quantité d ’autres objets

AmC^mptmmt. rr* !» «nUMBlFFo. '

f IB E C T A B E 9 S 8 A REH

lE T E U E S lT l tÉ lAoi Jsrniru de HoutsUirc #« Siini-Vssst.

li^Mello, pr^ Creil,A V S N D B C

▼«*4)RTAnii,■ » ! . 7 * J* <1® M oniaiaifc.

Æ " î i , ^ Ï Ï r . „ E . ^

v il le de 8enli».

A .D J7D I9A T Z 01T. ________ l>F.»

T R A V A U X* n t tm tm r r» n r l ’ l«bll>e.nuM de.

A e e n n e . . h l ' . i e . d ’. c e è . d e I . C i . e e i r l i c M l n J e F e r , m B e n l i N .

I.C Diwaache quinze Septembre 1801, b une uctirc d e rc le icc , il sera |iroccdé p a r 11 le Maire de Sculis. en la uraiidc salle de l’Ildiel- Ut^S lIle, a I adjudicalion au rabais, su r sou­m issions cachclccs des Iravaiix de lerrassc- m rn l. caillouiis, pavage cl nivelicmoni b r \ d - Ciiler dans 1r s Irois aie iiiies ou voies d 'accès de la G are du ('.licmin du P er j S ru iis ; loiis li'M iiels iravaus son t évalués b la souiine lo- tale de «2 .942 fr. 7 0 c.

Lee m treprenetés p m irn n i prendre cennaie- eanee du deiu» rf du ciftier dee chargée, an Se- ere lana tâ itaK tlhH e . Iota lee jô n r , de lOhcare, d v n M m a i heures t/e relenie.

P I L U L E S C A U V tNfB .iu ia t:( - iM iiï Ht l 'ic o u s; fÉiiiEnit be puis.

. »'li»i^^«:d«.r*rc-(Ic-Trjoinp1ic. îû , a l'an».: . i . - . i W««>.»x».- 534 )

,1V» i'|I.U|.i:s Minl Dir.KSTIVFS TONtQPKs r» OKI'ÜRATIVKS} par tcui- if&oariic r l par lviir*iii. pto» fatnie auijtirl rllr* »c prc- Irnl, rllr» sont ir nicillriir l’tlR CaTIF pinip i-omltatltr h CONS- TII*ATIU,\,<klrni>rJ.->ni,MIKL'RK

l'.\CltKTK nu S \\G et IH.III . I harocnerl'liarminiifitan» li'» fnnr.

^ - vicatfl». roiT,po»fc».«|-i! VKüÊ-T-VI.I’.S, r le« AnI la ppApriètc <Ic dunnrr du t«>.-i mtx intM iin», de-piirgcrion» fa lisu éf IVvtoiiiac ni alTai- blir aii. un orgnur.

0 -» Hi.til.f':» nrtigpnt ni régime ni i>oiv»oii spip-a le; Mma.ee rapport, Hli-* «'oii>iiiut-ni tr p in , cniii-

miide rt le pin» nRiace de» PURGlTIVI-a connu ,; aiMM Minf.«llc« npdn'iinéni avec am cé. itan, lr< m.xti-’i'.'l.®'*''*'*'*• g a s t r it (;s . k n g o k g k -«fcNTs. astbm i-:» <:.at.3RRiii':.s, nouLtiuhs. m i- GltVINUS. SGItOPIIl>f,KS,«tc.

'L cm érile.dece« PII.U(.F:-ipeiil ir rémmrr en ce» 01. s ilB T A bU aou KNTRt-reMR la aanlé PRIX

IIP- I.A CUI^F.'. 1 2 FAlNCS. avro notice eu' cinq

villé^*^* ***"* I** Pharmacie» I*ienatiorlie» de chaque

* 8EWUft,.cbe» M. C hBM lalB g , pharmacien.

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rhutncs les plus violents, e t est cinnloyé avec avantage dans toules les alfectlons de poitrine

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i:t a t CIVIL i>i: sic. \ l ï s .Naissance.

Springnel (Maile''Aj.|i inctif).JïfTf’jr.

Calais (.Uarie>M.irguei i|p}, 73 ans.Ranciirel (Je;ju-.Bdptisle AiiKU.sif), 7 mois.I elil .Geneviève), 2 ans 1/2. iMnte.iu (Joséph*Arnoiilii, 82 ans Boisficiu (Ale-vandie), 31 ans.

PiiblicMiMB It« llfArlaBra.

Entre M Cnnipiègnc (l)cuis.M srir). rrreveiir urlrul à itoul s. Cl MIS Toulefer (Louiscllél

ln ir.H „ ,e o li„ „ ) ' , j ,„ , lUoTcMiOu a Seuils. S em i^ê l um éh a n ilr r a

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oe fabriquer du Bon Choeulol c i d>n pro- ru»i*e. U Compagnie ne fait pa» du

bon oiatcbé ta question principale; rllo veut avant tout livrer des produiuirréprodtables.

Tous Ici C flocou n de la C- Colohialb .■ont composés, «oti c « cp /io 3 ,.4 o malièreapremihreadecboisiilsfODiracmptsde loutc addition de suUtance^élranei-ies.et prépa­rés avec des soibi inusités Jusqu’A eo Jour.

Contrairement A an a ^ s qui « t s ie dans la camraeroo.'ià Ç oisricau CotoiiiAu ne rrodlgM pas à.oea cboçoiais Im qualiflca- Woos de sao/huet i ' e ^ n j h u : eUe ne dniiiM A ses prodnltt qub drâ d^ubnioatioas sincè­rement eo rapport avec lenrsquaUiés, •

' " “ " i î l ü * * " ’ ’* I • « • « O S A T V A U lLLiiiiaiii|. I .u é im -in is .

**• !•■ • rScrtarnim ’ÜI!*!**’ ' â !*î

Le aincola», par ctrmple. qu'rile mraina siniplciurm Don OrdinairÉ, mr de braucoup supérieur A la niaj.-iim |«ar(ie de eeU* qao I on vend Joiimrrcriicnt'sous les dénopiiaa- iWHtIet plus rra g è tits . Kt quant à'éfeu»’do M (»oc«lat» qu’elle nomine-CÀeèoltB A’ia»,' Ils sont léelleineiit d'une n a ft ié lotit à fatl txcepiionnelle.- . •T '

La G** CoLoiiuij ne suit pm qon .plai I usaps blimable qui cooilste A compnuidra daw te poids annonoA r ilà lii e t le MjOér qui servent d’cnvelopp., auA lAocolais. Le« piM uitsde laCoara«:iii(CoLi>niitu.auee»-. traire, ont toujuun le' pioids «r<d qdo l'éliF ' quctic indique, et ce, en dekon du poids eneelopp a , de quelque ndiuro qu'elieà»<iiâ^,

euoaOLAT DC MBNBVf

U Ml* 4» M HUÙa'MUw* scrssna. h ia » ., . . . . .Etru.taM l*................. a ^ .Ztn^riudn,lakpi*. y «

l u i iN ia in Tllla 4e »w« e , d e i les frisclH ii (M aei,siii• t a a o c ^ .lr s , u €oO «uu pomat n , rrâTri»,». t a .

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E n v e n t e à l a L l b f . v i r i e < le K l™ ' v ' R E G N I E R

CARTE ROUTIÈRE ’p h y s i q u e É T A D a i l A l i S T R a T I V E

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